1. Une curiosité de provinciale


    Datte: 10/05/2018, Catégories: ffh, inconnu, grosseins, fépilée, fête, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral historique, historiqu, Auteur: Ben, Source: Revebebe

    ... peu lasse des excès de la veille : ses traits sont tirés, sa peau pâle. Mais ses yeux brillent encore d’un feu intense. Mère et fille s’enlacent. Caroline est heureuse de retrouver sa mère après plusieurs mois d’absence. Celle-ci est heureuse de découvrir que sa fille a encore embelli. À première vue, elle semble mûre pour faire son entrée à la Cour et y briller. Bien sûr, elle devra la débarrasser de ses manières de petite provinciale, l’habiller à la dernière mode, lui apprendre les bonnes manières… Mais le fond est bon, elle a une élégance naturelle et une spontanéité qui, aux yeux des blasés de la Cour, lui donneront l’attrait du neuf.
    
    À l’invitation de sa mère, Caroline s’assied près d’elle. Elle découvre alors la pièce : les murs sont tendus d’un velours rouge sombre intense qui donne à la pièce une atmosphère de lourde sensualité. Un épais tapis couvre le sol. Le lit est très vaste. Un immense miroir fait face au lit. Un petit divan favorise les causeries à deux. Caroline ne peut s’empêcher de penser spontanément que cette pièce a été conçue pour les ébats amoureux. Un parfum suave et enivrant flotte dans l’air. Elle imagine sa mère régnant comme une déesse sur les orgies qui doivent s’y dérouler.
    
    « Ma chère enfant, comme je suis heureuse que tu sois là. Je n’ai pas pu t’accueillir hier soir comme prévu. J’étais retenue à la Cour, pour un dîner que donnait le Duc d’Albe
    
    — Ne vous en souciez pas, mère, Elodie s’est très bien occupée de moi.
    — Elodie sera à ...
    ... ton service tout le temps que tu seras à Paris. Bien sûr, nous devrons la partager, si j’ose dire. Mais pour le reste, elle sera à tes ordres, tu pourras en disposer comme bon te semble.
    — Je ne manquerai pas de faire usage de votre bonté, mère, et userai volontiers de ses services attentionnés.
    — Parfait. J’espère que vous vous entendrez.
    — Ne vous tracassez pas sur ce point, nous nous sommes déjà découvert de nombreux points communs.
    — Poursuivez donc vos découvertes. En attendant, tenez, ma fille, je vous ai fait confectionner une robe. Elodie va vous aider à la passer, et fera les ajustements nécessaires. Il me semble que votre poitrine a gagné en opulence, et je ne suis pas sûre que le corset pourra la contenir correctement. »
    
    Elle lui montre alors une superbe robe rouge sombre, plus élégante que toutes celles que Caroline a déjà pu revêtir. Elle a le cœur qui palpite de joie à l’idée de l’essayer.
    
    Caroline est un peu gênée de se dévêtir sous les yeux de sa mère, mais Elodie fait ce qu’il faut pour la mettre à l’aise. Elle l’aide à abandonner le déshabillé. Sa mère contemple le corps superbe de sa fille. Elle est époustouflée par sa beauté. Nul doute qu’elle aura du succès à la cour. Si elle n’était pas sa fille, elle aurait bien envie de goûter à ce jeune corps épanoui. Caroline passe la robe. Elodie passe derrière elle pour lui nouer le corset, qu’elle serre juste assez pour affiner la taille et mettre en valeur les seins. Caroline se dirige vers la glace. Elle ...
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