1. Au détour d'un bar


    Datte: 10/05/2018, Catégories: hh, hplusag, hotel, hdomine, Auteur: Bichon_92, Source: Revebebe

    ... boss de ma boîte, très à l’aise en communication, beaucoup de charisme. Assis sur un tabouret l’un a côté de l’autre, il a tendance à être très proche de moi, n’hésitant presque pas lorsqu’il parle à poser brièvement sa main sur mon genou pour attirer mon attention comme on peut le faire avec un bon ami.
    
    Très vite, la discussion passe à un niveau plus personnel et Hervé me propose de nous installer dans le salon pour reprendre une autre consommation. Je ne sais pourquoi, mais son regard, sa façon de me parler me met par moments mal à l’aise. J’essaie de ramener la conversation sur des côtés plus professionnels, mais à chaque fois il revient sur du personnel : il me propose même de prendre mon CV, prétextant que par ses contacts il peut peut-être m’aider à trouver un meilleur poste.
    
    — Passe jusqu’à ma chambre, je te file une carte de visite pour que tu m’envoies tout ça ! s’exclame-t-il lorsque nous quittons le bar pour rejoindre l’ascenseur.
    
    À peine l’ascenseur se ferme-t-il qu’il me colle doucement les épaules sur la paroi de l’ascenseur.
    
    — Je vais être honnête : je te trouve plutôt mignon. Si je t’amène jusqu’à ma chambre, ce n’est pas que pour ton CV.
    
    Face à moi, à quelques centimètres de mon visage, je suis tétanisé par sa proposition. Avant même que je ne réponde, il passe déjà sa main sur mon torse et renchérit :
    
    — T’inquiète pas, je ne suis pas un vicieux ou un pervers. Il ne t’arrivera rien.
    
    Je ne sais que répondre : d’un côté, je ne cherche pas ...
    ... une relation avec un homme ; d’un autre, il me fascine, il a du charme, une prestance.
    
    La porte de l’ascenseur s’ouvre et il m’attire jusqu’à sa chambre. Comme un pantin, je le suis, le cœur battant, les mains déjà moites.
    
    Il ouvre avec la carte sa chambre et me fait entrer devant lui. La porte refermée derrière moi, il me colle cette fois-ci plus virilement contre le mur dans ce petit corridor qui amène à la chambre. Les yeux dans les miens, je suis hypnotisé et intimidé par son regard. Il remet sa main sur ma poitrine, me caressant fermement tout en descendant jusqu’à mon pantalon. Mon sexe n’est déjà plus indifférent à sa présence et il m’enserre la bite au travers de celui-ci.
    
    — Je vois que ça te plaît déjà, sourit-il.
    
    Alors que sa main me pétrit l’entrecuisse, je l’observe, sans réaction. Hervé est un bel homme, 1,80 m environ, le visage carré, des sourcils marqués. Côté corps, il a l’air bien bâti et surtout il a des mains impeccables, sûrement manucurées, et assez imposantes.
    
    Il a relâché la pression sur mon sexe et m’a fait pénétrer dans la chambre : une chambre identique à la mienne, un grand lit faisant face à une télé à écran plat, un petit coin bureau et un autre petit coin salon avec une table basse et deux fauteuils. Jetant sa veste sur un des fauteuils, il a retiré ses chaussures et s’est assis sur le lit.
    
    — Viens t’asseoir.
    
    Télécommandé, j’ai posé mes fesses sur le bord du lit et l’ai laissé me retirer mes mocassins avant qu’il me fasse ...
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