1. Le garde du corps - Fin


    Datte: 23/04/2021, Catégories: fh, ff, frousses, Collègues / Travail uniforme, amour, Oral policier, Auteur: Starpom, Source: Revebebe

    ... partenaire aussi. Un tir parfait, à ce que je me suis laissé dire.
    — Oui, elle a assuré. Elle est lieutenant de police à Nice, elle nous a donné un sacré coup de main !
    — Seulement lieutenant ? C’est du gâchis, je vais y remédier, je connais bien le grand patron de la Police Nationale. Et surtout, bravo pour vos réflexes, le concert a repris très rapidement. Vous avez permis d’éviter un mouvement de foule. Bravo.
    — On a eu beaucoup de chance, les balles perdues n’ont causé aucun dommage apparemment.
    — Oui, c’est vrai aussi. Bien, je vais me permettre de rejoindre votre charmante fiancée, si j’en crois la presse ?
    — Oui, c’est tout à fait exact.
    — Toutes mes félicitations en tout cas, pour ça et tout le reste.
    
    Après une dernière poignée de main, il va rejoindre Marlène.
    
    Marlène focalise l’attention générale. J’avise Diane et Florence en train de discuter dans un coin de la pièce.
    
    Je prends trois coupes de champagne sur le plateau qu’un serveur en veston blanc fait passer, et les rejoins.
    
    — Alors, mesdames, une petite coupe ?
    
    Elles saisissent chacune une coupe. Nous trinquons ensemble.
    
    — À la santé de Marlène.
    
    Nos verres s’entrechoquent.
    
    — Quelle soirée… Heureusement que vous étiez là tous les deux ! dit Diane.
    — Oui, on a eu chaud. Mais bon, hop, c’est du passé. Espérons que cela ne se reproduise pas !
    — Vous faites une équipe du tonnerre, en tout cas.
    — Tous les trois, n’oublions pas Falco. Il est où, au fait ?
    
    Diane me répond.
    
    — Un ...
    ... gars l’a emmené au camion, il est en train de le cajoler, il est un peu nerveux. Et puis, avec tout ce monde, il se serait fait marcher sur les pattes.
    
    Florence se colle contre Diane, flanc contre flanc. Elle lui passe le bras autour des épaules. Pourvu que la chemisette ne craque pas !
    
    — Dites-moi, Diane, vous savez que vous êtes littéralement craquante ?
    
    Diane regarde Florence, un peu interloqué.
    
    — Ah, vous trouvez ?
    
    Elle la serre plus fort contre elle. La soie au niveau de son épaule est tendue à bloc…
    
    — Et d’après Julien, vous êtes ce qu’on appelle vulgairement un « super coup ». C’est vrai, ça ?
    
    Diane rougit un peu.
    
    — Je ne sais pas….
    — Et si je vous propose de terminer la soirée chez moi, Diane, vous répondez quoi ?
    
    En disant cela, elle descend la main le long du dos de Diane, et se met à lui caresser les fesses. Heureusement que nous sommes dans un coin, et qu’elles ont le mur dans le dos !
    
    — Entre femmes, on peut faire plein de choses….
    — Ben je ne sais pas, Madame aura peut-être besoin de moi…
    — Ce n’est pas un problème, je m’arrangerai avec Madame Mongeot. Mais vous, ça vous tente ?
    
    Diane me regarde, l’air ébahi.
    
    Je lui souris.
    
    — Marlène pourra se passer de vous jusqu’à demain, j’y veillerai, Diane.
    — Ah, ben alors, pourquoi pas… AHHH !
    
    Florence vient de serrer dans sa main les fesses de Diane. Elle récupère vite, la lieutenant, en tout cas. Tant mieux, rien de mieux pour faire retomber la pression et le stress.
    
    Deux ans ...