Carole au Nirvana - Histoires de Sexe

Carole au Nirvana

... jamais volontairement. Et si j’en aperçois un qui me reluque, je m’enferme dans la voiture.
— Et alors ! Là c’est pareil. Il ne s’est pas aperçu que je l’ai fait exprès.
— Et qu’est-ce que cela t’a fait ? Tu as eu du plaisir à te montrer ainsi ?
— Plus que tu ne peux l’imaginer. Une fois au volant, j’étais bien sec à l’extérieur, mais à l’intérieur …
— Je me demande bien quel plaisir tu peux tirer de tout cela.
— Je te l’ai déjà dit. Essaye ! Et tu comprendras. Et puis l’autre fois, les seins quasiment à l’air, ce n’est pas moi qui t’aie demandé de faire le tour du rayon. Alors ne viens pas me faire la leçon.

Encore une fois, nous sommes à la limite de l’incident diplomatique entre les deux amies. Il est presque 10 heures et nous ne sommes toujours pas passés à table, Aude choisit donc de calmer le jeu, peut-être gênée d’avoir à répondre à la précédente attaque de Carole.

— Désolée d’interrompre cette conversation. Mais je vous propose de la poursuivre à table. Vous n’avez qu’à vous installer. J’ai préparé un repas froid, j’en ai pour cinq minutes dans la cuisine.

Aude partie dans la cuisine, je rejoins Carole sur le canapé :

— Tu aurais pu me raconter cela plutôt. Peut-être que si le sujet n’était pas venu sur la table, tu ne m’aurais jamais rien dit.
— De quoi tu te plains ? C’est le genre de situation qui te plaît.
— Oui, j’avoue. Et tu ne peux pas imaginer le plaisir que tu me fais en me montrant que tu apprécies cela visiblement autant que moi. Je ...

... suis sûr qu’à raconter cela, tu es toute mouillée.

Je glisse alors la main sous sa jupe ; sa chatte est dans un état proche de celui qu’elle atteint en plein milieu du meilleur de nos jeux. Je commence à la caresser. Elle a très envie, et elle écarte d’abord un peu plus les jambes pour se laisser faire, mais sa raison reprend vite le dessus.

— Arrête ! Elle va arriver d’un moment à l’autre.
— Au point où vous en êtes arrivées toutes les deux, ce n’est pas bien grave.
— Quand même, je ne vais pas me laisser caresser devant ma meilleure amie.
— Regarde ! On croirait que ta chatte va exploser.
— Et alors ! C’est que cela marche bien à ce niveau là.

Et elle rapproche ses cuisses d’un mouvement rapide et écarte ma main. Je ne veux pas brusquer les choses, et, la connaissant, je sais qu’elle aurait joui très vite sous mes caresses. Étant convaincu qu’il est bon parfois de faire traîner un peu les choses pour laisser au désir le temps de s’installer, j’obtempère et reviens à notre conversation.

— Au fait, cela a du être frustrant de ne pas pouvoir éteindre le feu qui s’est allumé en toi lors de ton exhibition.
— Euh… oui… un peu. Mais tu sais, on n’en meurt pas.
— Tu ne vas pas me faire croire que tu ne t’es rien fait ?
— Tu aurais voulu que je me masturbe au fond du parking.
— Bah oui ! Pourquoi pas ?
— Si tu veux tout savoir. Je ne vous ai pas tout raconté. Oui, je me suis finie.
— Alors là, tu m’épates de plus en plus. Raconte !
— Quand je me suis mise au ...