1. Infidélité au travail (4)


    Datte: 23/04/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Thea, Source: Xstory

    ... planches de bord terminées et contrôlées. Excitée de le voir, je m’efforçais de rester concentrée sur mon travail.
    
    — Bonjour, alors c’est ça la qualité ? Demanda Fabrice.
    
    Je me figeais, ma température corporelle augmentant considérablement.
    
    — Oui, répondit ma copine.
    
    — Ça consiste en quoi ?
    
    — On contrôle le travail de nos collègues et la qualité de la planche, répondis-je.
    
    Ma copine lui montra toutes les étapes de notre travail.
    
    — Ça a l’air sympa, dit-il.
    
    Cela me plaisait beaucoup que Fabrice s’intéresse à mon travail.
    
    — Franchement, c’est le poste le plus cool de la chaîne, déclarai-je.
    
    — On est plus rapide que nos collègues, alors que le grand chef se plaint qu’on discute beaucoup, ajouta ma copine.
    
    Le chef d’équipe nous rejoignit, Fabrice le salua. Ils discutèrent un moment, puis Fabrice s’en alla.
    
    — Finissez vos pièces et nettoyez vos postes ! Ordonna le chef d’équipe.
    
    Quand ce fût terminé nous nous dispersâmes pour partir.
    
    — Tu peux badger pour moi pendant que je vais fumer ? Me demanda ma copine.
    
    — Oui, bien-sûr !
    
    Je suivais mes deux collègues féminines jusqu’à la pointeuse, quand j’aperçus Fabrice qui arrivait. Nous échangeâmes un sourire, le regard brillant.
    
    — A qui tu souris comme ça ? Demanda la collègue persuadée que je m’étais fait draguer pendant la pause.
    
    — Chut ! Lui fis-je signe de se taire, excitée comme une gamine de quinze ans.
    
    Fabrice rejoignit la file d’attente. Son regard brûlant de désir me ...
    ... fixait comme si rien d’autre n’avait d’importance, ses yeux brillants tel un phare en pleine nuit. Terriblement gênée, mais flattée, je m’efforçais de ne pas le regarder de peur d’être encore surprise par ma collègue.
    
    La pluie avait cessé de tomber. L’air était chargé d’humidité et le ciel couvert de gros nuages gris.
    
    Fabrice quitta le parking en premier. Impatiente et excitée, je le suivais discrètement. J’avais une terrible envie de glisser mes doigts dans mon string trempé de cyprine. Mon clitoris était gonflé et bien dur. Je m’amusais à serrer et relâcher mon vagin ce qui m’excitait davantage. J’adorais me sentir brûlante et humide.
    
    Arrêtée à un stop, je frottais ma main sur mon entrejambe, mon jean était mouillé lui aussi. Quelques minutes plus tard, nous nous garâmes sur un parking visible depuis des habitations. D’autres voitures étaient garées près des nôtres. Ce n’était pas très discret comme endroit à treize heures.
    
    « Fabrice est sûrement aussi coquin que moi pour aimer s’exhiber, sinon il ne m’aurait pas attiré ici. » pensai-je.
    
    Il sortit de sa voiture, m’invita à le suivre, d’un signe de la main. Nous gravîmes la petite côte qui menait à l’arrière de l’église, l’étroit chemin goudronné nous obligeait à nous suivre. Fabrice avait une corpulence normale pourtant son bleu de travail était trop large pour lui, j’étais déçue de ne pouvoir admirer son fessier. Il me regarda par-dessus son épaule, me sourit, avant de s’enfoncer dans le petit bois. Les longs et ...