1. Infidélité au travail (4)


    Datte: 23/04/2021, Catégories: Erotique, Auteur: Thea, Source: Xstory

    ... réunie autour du chef d’atelier. Je la rejoignis discrètement, en restant en retrait afin qu’il ne s’aperçoive pas de mon retard. Il décida que ma copine serait formée au mur qualité pour travailler en binôme avec moi. Ravies nous nous rendîmes à notre poste.
    
    Ma copine ne fit aucun commentaire sur mes cheveux comme si elle n’avait rien remarqué. Soulagée, je me mis sérieusement au travail. Nous discutions de nos familles et faisions des projets de sortie ensemble avec nos enfants. Comme elle ne tolérait pas l’infidélité dans un couple, je ne pouvais pas lui parler de Fabrice, ce qui me décevait.
    
    Mon vagin se contractait et ma peau frissonnait lorsque je pensais en lui. Je désirais ardemment le sentir encore en moi.
    
    Pendant la pause d’une demi-heure, je me rendis dans la cour des livraisons. Fabrice empilait des palettes cassées. Son regard s’enflamma à ma vue, ma respiration devint profonde. Il me rejoignit, roula une cigarette.
    
    — Comment ça va ? Demandai-je.
    
    — C’est la merde ! Le chef est en réunion, je dois encadrer les jeunes qui font n’importe quoi.
    
    Fabrice était chef d’équipe et son supérieur chef de zone.
    
    — Mets-leurs des fessées, je suis sûre qu’ils vont adorer, dis-je d’une voix langoureuse.
    
    — Je préférerais t’en mettre à toi, sur tes belles fesses.
    
    Le compliment me fit sourire.
    
    — C’était super ce matin, déclara-t-il, les yeux brillants.
    
    — Oui, j’ai adoré !
    
    — Je veux te voir derrière l’église, après le boulot.
    
    Mon ventre se ...
    ... contracta, un filet de mouille chatouilla les lèvres lisses de ma minette.
    
    — D’accord, répondis-je.
    
    — Tu peux te libérer le matin, la semaine prochaine ? Demanda-t-il.
    
    — Oui.
    
    — Ma femme commence à travailler cette semaine. Quand je connaitrais ses horaires on pourra se voir chez moi.
    
    — Oui, pourquoi pas.
    
    Un jeune cariste vint nous rejoindre.
    
    — T’es pas en train de bosser toi ? Lui demanda Fabrice.
    
    — Non, je suis venu te voir tu suces si bien, plaisanta l’autre.
    
    — Je te retourne le compliment, dit Fabrice en me regardant.
    
    Je lui souris, les joues brûlantes. J’avais très envie de le sucer et de l’avaler.
    
    — À bientôt, dis-je comme c’était la fin de ma pause.
    
    Je rejoignis ma zone de travail en souriant bêtement, le doux visage souriant de Fabrice obsédant mes pensées.
    
    — Toi, tu t’es fait draguer ! S’exclama une collègue.
    
    — Non, pas du tout !
    
    — Si, c’est sûr vu ton sourire ! Dit une autre. C’est qui ?
    
    — Mais personne !
    
    — Pourquoi tu n’étais pas avec nous à la pause alors ? Demanda la première.
    
    Je passais toujours mes pauses avec elles d’habitude.
    
    — J’étais au téléphone avec ma petite sœur, mentis-je.
    
    Le chef d’équipe arrivant avec nos collègues fumeurs, nous regagnâmes nos postes de travail.
    
    La dernière heure me paraissait toujours interminable, mais là plus encore tellement j’étais pressée de retrouver Fabrice.
    
    Soudain, je l’aperçus réapprovisionner l’équipe d’à côté en caddies vides. Ils servaient à y entreposer les ...
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