L'école de la soumission
Datte: 21/04/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
copains,
campagne,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fdanus,
f,
Auteur: Isamon, Source: Revebebe
... vrai taureau, et il n’eut que le temps de se retirer précipitamment pour gicler sur mon ventre. J’étais un peu frustrée car le plaisir avait commencé à monter en moi, mais je sentais que je n’étais pas allée au bout, alors que lui y était parvenu très rapidement. Trop à mon goût.
— T’es une petite cochonne adorée, me souffla-t-il.
Le mot « cochonne » me surprit un peu car je n’avais pratiquement rien fait, me contentant de me livrer à ses désirs. Quand je lui demandai plus tard pourquoi il me traitait de « cochonne », il me dit que ça l’excitait beaucoup de me traiter ainsi, et de savoir que j’étais aussi cochonne que lui. Tout simplement.
Un peu plus tard, alors que nous nous promenions dans les bois, il s’ouvrit complètement à moi et dévoila sa véritable personnalité de « coquin ».
— Tu sais, je suis très cochon, il faudra me laisser faire de toi tout ce que je veux…, me dit-il.
J’étais tellement heureuse d’être avec le beau Nicolas que j’acceptais tout par avance !
— Fais de moi tout ce que tu veux… Commande, je t’obéirai…
— Alors, avance devant moi, et soulève ta robe par derrière, que je voie ton petit cul quand tu marches…
Après une hésitation, je le fis. Je n’en revenais pas : j’étais là, dans un petit chemin dans une forêt, en train de montrer mon derrière à un mec qui me suivait !
— Maintenant, baisse une peu ta culotte…
Je la baissai, puis un peu plus tard, il me demanda de l’enlever.
— Maintenant, marche lentement, en remuant un peu ...
... tes fesses… Elles sont superbes !
Et moi, de me déhancher, pendant qu’il devait avoir les yeux fixés sur mon fessier…
Je dois dire que ça commençait aussi à me plaire, ce petit jeu. Puis :
— Baisse-toi, et tend bien ton cul… Ecarte bien tes jambes… Maintenant, écarte tes fesses.
J’imaginais le spectacle que je lui donnais : les fesses bien ouvertes, il devait voir mon petit trou du cul, mais aussi ma minette qui devait être entrebaîllée par la position. Soudain, il s’approcha et posa sa bouche sur ma chatte entrouverte. Je sentis sa langue pénétrer entre mes lèvres, puis remonter vers mon clitoris qu’il effleura, redescendre dans le sillon, et venir se poser cette fois sur mon trou du cul bien ouvert, tentant d’en forcer l’entrée.
J’étais vraiment une cochonne, car j’aimais beaucoup ces caresses, et cette situation où j’aurais pourtant dû me sentir un peu humiliée. Mais justement… Je crois que c’est ça qui m’excitait : être humiliée, utilisée comme un objet de plaisir par un mec. Je sentais qu’il léchait, qu’il lapait.
— Ta mouille est bonne, ma petite cochonne, me dit-il, en se redressant et en m’embrassant à pleine bouche.
J’étais très excitée, d’autant plus que je sentais sur ses lèvres l’odeur de mon sexe. Je dois dire que cette odeur m’avait toujours excitée, même plus jeune. Souvent, je sentais ma culotte le soir en la quittant, et ce, depuis ma plus tendre enfance.
Après quoi, alors que je tentais de remettre ma culotte, il me dit :
— Reste le ...