L'école de la soumission - Histoires de Sexe

L'école de la soumission

02 – L’école de la soumission…

Le lendemain de ma première « aventure amoureuse » avec Nicolas, je partais donc chez ma grand-mère, à la campagne, pour lui tenir compagnie. Elle était veuve, en effet, depuis plusieurs années, et vivait dans une maison un peu isolée, mes parents estimaient qu’à son âge (près de 80 ans), il était plus prudent qu’elle ait de la compagnie de temps en temps.

Je devais donc me résoudre à ne pas revoir Nicolas pendant quelques jours… Au moins deux semaines, ça me semblait une éternité ! « Tu me téléphoneras, promets ! » avait-il dit.

Le problème est que chez ma grand-mère, il n’y a pas de téléphone ! Après quelques jours, je n’y tins plus : j’allai à la poste et appelai le numéro que Nicolas m’avait donné. J’eus une voix féminine : sa mère. « Pourrais-je parler à Nicolas, Madame ? De la part d’Isabelle, une amie. »… Je ne savais pas comment elle prendrait la chose. « Oui, il m’a parlé de vous… Je vais le chercher mademoiselle ! »

Ouf, elle la prenait bien, la chose ! Nicolas était tout heureux de m’entendre. Et moi donc ! Il me promit de venir me voir chez ma grand-mère. 40 km en scooter, ça ne lui faisait pas peur ! En effet, quelques jours plus tard, alors que je me trouvais dans la cour de la ferme, je le vis arriver. Heureusement, j’avais mis ma grand-mère au courant, et elle avait blagué :

— Déjà un p’tit fiancé ? Et bien ma cocotte, tu ne perds pas de temps ! Mais il est vrai que t’es tellement mignonne… Les garçons ont bien ...

... raison. Mais dis-moi, celui-là, il est sérieux, au moins ?
— Mais bien sûr, grand-mère.

Si elle avait su, la pauvre Mémé ! Elle l’invita à déjeuner avec nous, et devant elle, il se comporta très bien, me prenant par les épaules, par la taille, me faisant de petits bisous dans le cou, parfois sur la bouche, mais n’effleurant que mes lèvres. Comme un parfait gentleman ! Mais tout changea l’après-midi, pendant la sieste de Mémé !

Nous décidâmes d’aller nous isoler un peu, et avec toutes les dépendances de la vieille ferme, l’endroit ne manquait pas de coins cachés pour abriter nos amours. Nous sommes allés nous cacher dans une grange à foin, à l’abri de tous les regards. Là, Nicolas recommença à peu près la même séance que l’autre jour sur le canapé. Il me caressa la minette, me demanda de lui branler la queue, mais cette fois, pas longtemps.

Il m’allongea sur le foin, m’enleva ma petite culotte (au passage, je remarquai qu’il la huma comme il l’avait fait l’autre jour avec ses doigts), et tout à coup, je sentis son gros sexe se frotter à l’intérieur de ma petite minette. J’avais peur. Mais il me pénétra très doucement. Je n’étais plus vierge, car il avait forcé mon hymen l’autre jour chez lui avec ses doigts. Heureusement, j’étais au courant par mes lectures de ce petit passage obligatoire !

Nicolas me pénétra donc lentement, et il se mit à faire coulisser son sexe dans le mien. C’était encore meilleur que ses doigts. Tout à coup, il se déchaîna, me pilonnant comme un ...