1. COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (6/16)


    Datte: 20/04/2021, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... Isabelle qui est aux aguets, je l’attrape par un bras et je lui passe l’autre autour de la gorge l’étranglant légèrement.
    
    • Avance.
    
    • Lâchez-moi !
    
    • Je te lâche, si tu te tais.
    
    Je l’amène jusqu’au milieu de la pièce où sœur Agnès est surprise de me voir arriver avec ma prisonnière.
    
    • Lâchez-moi, je vais aller voir la Prieure et elle vous mettra à la porte du couvent.
    
    • Tu me donnes une idée, Agnès guide nous jusqu’à la porte d’entrée par où je suis arrivée, je suis un peu perdu, ici, c’est si grand.
    
    Je place ma main sur sa bouche pour l’empêcher de crier, mon amie nous guide jusqu’à la grande porte ou se trouve la petite ou le judas s’est ouvert à mon arrivée.
    
    • Sais-tu comment on ouvre ?
    
    • Oui, j’ai remplacé sœur Juliette, la Portière chargée de ce travail quand quelqu’un sonne, regarde cette corde, je tire dessus et elle va venir, elle haït sœur Isabelle, car elle a failli être renvoyée pour être sortie devant le couvant avec un fournisseur qui lui faisait les yeux doux.
    
    J’ignore ce que tu veux faire, mais je te suis.
    
    Agnès fait sonner la cloche et la sœur arrive.
    
    • Que se passe-t-il mes sœurs pourquoi tenez-vous sœur Isabelle cette chipie !
    
    • Vous allez voir, Juliette ouvre la porte, Agnès déshabillons là.
    
    Rapidement, elle est nue et la porte ouverte, je la pousse à ...
    ... l’extérieur.
    
    • Que faites-vous, non pas çà qu’est-ce que j’ai fait, si vous fermez la porte, ou je vais aller, surtout nue ?
    
    • Va te faire violer et assassiner par les paysans, tu vois la première chose que tu as dit, c’est de te lâcher pour que tu ailles rapporter à la Prieure, c’est cela que l’on te reproche, tu pourrais lui dire des choses sans pour autant mettre l’une ou l’autre de tes sœurs qui sont tes amies en porte-à-faux.
    
    Je regarde cette jolie fille, car nue elle est resplendissante avec sa chevelure et sa touffe rousse sur sa peau blanche.
    
    • J’ai compris, à partir de ce jour, je vais me taire et je vais éviter de vous faire du tort.
    
    • Juliette, la laisse-t-on entrer ?
    
    • Oui, si vous le voulez, je l’emmène dans ma cellule et nous verrons si demain elle tient parole.
    
    • Isabelle, tu peux revenir, ferme la porte et surtout, tiens parole sinon ma vengeance sera terrible.
    
    Je les vois partir Isabelle nue son petit cul se tortillant après qu’elle eût ramassé ses affaires, je les aurais bien suivis, mais à quatre sur le petit lit, on va se bousculer et au moment où je les vois entrer dans la cellule la cloche pour qu’officiellement nous allions dormir tinte.
    
    • Viens, le cas Isabelle semble réglé, je vous aurais été utile à quelque chose, tu as parlé d’Odette qui t’avait reçu quand tu es arrivée viens me raconter… 
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