COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (6/16)
Datte: 20/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... Isabelle a été dire à la Prieure que nous nous servions des cierges et surtout les plus gros pour nous amuser.
J’éclate de rire, ce qui semble l’étonner.
• Mais, comment peut-elle l’avoir dit, c’est une fille frustrée ?
• Non, quand je suis arrivée, elle était la Lectrice comme tu as vu faire sœur Juliette pendant le repas, c’est la sœur Prieure qui tenait ce rôle auprès de l’ancienne Prieure qui un jour a disparu, elle était pétillante et amie avec Olga dont je t’ai parlé tout à l’heure.
• Et depuis comme son rôle, c’est de fouiner, elle l’a quitté.
• Non, c’est Olga qui la fuit et maintenant elle est de plus en plus frustrée.
• Alors ce cierge, comment s’en est-elle servie ?
• Faciles, écarte tes jolies cuisses et tu vas comprendre.
C’est comme cela que je me retrouve avec une bougie plantée dans mon vagin qu’elle fait coulisser doucement et chose extraordinaire cela marche, mon corps se tend, mais je jouis, bien moins qu’avec le Duc, car le toucher de la peau de son sexe amplifiait mon plaisir.
• Attends, laisse là.
J’ai toujours le cierge dans ma chatte, je relève mes jambes par-dessus ma tête la bougie se redresse et est plantée droite.
• Prends la bougie sur ma table de nuit et allume le cierge.
Elle le fait.
• Regarde, je fais un magnifique bougeoir, si les révolutionnaires arrivent peut-être m’oublieront-ils et je pourrais survivre.
• Tu es folle ma belle, mais c’est drôle, assez jouée la nuit va être courte.
Je souffle ...
... la bougie et je fais reposer mes jambes.
• Regarde Blanche, on a perdu quelques millimètres.
• Je peux te dire que tu en as encore assez long pour les jours prochains, bonne nuit, récupère là.
Dans les heures qui suivent, je prends le rythme du couvent certes contraignant pour une fille comme moi qui ai toujours été habitué à être servie par Adèle et notre majordome sans oublier les cuisinières et Manfred le palefrenier de Tyran.
• Sœur Agnès pouvez-vous me rejoindre à la bibliothèque pendant le temps de notre quartier libre.
Agnès me regarde avec des yeux pleins de reproche, car j’ai parlé assez fort pour que sœur Isabelle m’entende.
À l’heure dite, je quitte discrètement les filles qui vont jouer à la marelle, jeu que je pratiquais quand j’avais huit ans, j’entre dans la salle de lecture aucune sœur n’ait là.
• Pourquoi m’as-tu fait venir ici, attention à ce que l’on dit, sœur Isabelle a dû entendre que tu me donnais rendez-vous ici.
• Ah ! Tu crois, mais pourquoi voudrais-tu qu'elle le dise à la Prieure.
Je l’ai dit les gonds des cellules sont bien huilés, j’ai pu le constater, mais ceux de cette salle le sont moins, un léger bruit me fait comprendre qu’une personne est entrée discrètement.
• Agnès, as-tu lu ce livre, il parle de grosse queue que des femmes se mettent dans la chatte.
• Tu es folle, ici tout est contrôlé par sœur Brigitte la Bibliothécaire qui contrôle les entrées des livres.
Je contourne deux rayons et j’arrive derrière ...