1. La marchande de chaussures


    Datte: 20/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alnicabe, Source: Hds

    ... qu’elle porte des bas dim up. Elle semble ennuyée.
    
    Moi : vous ne les retrouvez pas, (en souriant) vous les avez vendues
    
    Martine : non, mais c’est ma collègue qui les a rangé, ah ! je sais comme elle est grande elle les a mis, sur l’étagère du fond.
    
    Elle me montre un carton, ou l’on peut lire mon nom inscrit en travers sur le côté. J’essaie de prendre la boîte, mais elle est trop haut placé.
    
    Martine : (portant un petit escabeau et passant devant moi) laissez-moi faire
    
    Elle commence à monter. Me rappelant de la vision juste avant, je ne peux m’empêcher de me pencher légèrement pour regarder sous la jupe. J’avais bien vu, elle porte des bas et un string. Cette vision me met en rut immédiatement, je bande comme un taureau.
    
    Je ne me contrôle plus. Au moment où elle entame, sa descente, je pose mes deux mains sur ses mollets et je remonte lentement le long des jambes. Elle se fige.
    
    Martine : mais que faites-vous ?
    
    Moi : (sans arrêter mon mouvement) : vous elle tellement ravissante, j’ai envie de vous câliner, de voir sur votre visage le plaisir
    
    Tout en disant ça, mes mains étaient remontées jusqu’à ses hanches. Je la faisais basculer en arrière, et la posait à plat ventre sur le bureau. Elle semis sur le dos d’un coup de reins
    
    Martine (en colère, essayant de se redresser) : ça va pas, vous êtes fou.
    
    Je me couche sur elle, je lui tiens les mains au-dessus de la tête, avec ma main gauche, avec la droite je fais glisser, la fermeture éclair du gilet ...
    ... qui s’ouvre, je glisse ma main sur son ventre, je descends rapidement sur son pubis que je caresse à travers les tissus.
    
    Martine (se débattant presque plus) : non s’il vous plait mon mari m’attend.
    
    Moi (la main sur son sexe, et ma bouche sur son cou) : laisses toi faire tu vas adorer
    
    Ma main quitte son bas ventre, lui prend le menton pour l‘obliger à tourner la tête. On se retrouve lèvres contre lèvres, elle ouvre les yeux,
    
    Martine (me fixant) non arrête
    
    Ma langue force sa bouche qui s’ouvre imperceptiblement, et timidement je sens sa langue venant à la rencontre de la mienne.
    
    J’ai gagné, d’un coup je me relève, glisse à genou à ses pieds, qui pendent le long du meuble passe la tête sous la jupe et vient embrasser son string. Elle soupir sous mes baisers
    
    Martine (entre deux soupirs) éteint la lumière et ferme la porte
    
    Je me relève prestement éteint la lumière, mais laisse la porte entre ouverte, laissant une faible clarté dans la pièce grâce aux lampadaires de la rue.
    
    Martine : ferme la complètement on risque de nous voire
    
    Moi : impossible pour l’extérieur la pièce et dans le noir complet, nous sommes invisibles comme avec une glace sans tain.
    
    Je reprends ma place entre ses cuisses, où sa main droite avait remplacé ma bouche. Quand je m’approche, elle écarte le fin tissu et me laisse goûter son jus qui coule déjà de sa chatte en feu.je plonge ma langue dans son vagin, je ressort lui lèche la rai jusqu’à son petit trou que je force doucement. ...
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