1. La marchande de chaussures


    Datte: 20/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alnicabe, Source: Hds

    Mon fils avait, 10 ans environ, un soir nous venons de nous coucher ma femme me dit,
    
    Ma femme : tiens le petit a besoin d’une paire de chaussures pour ce printemps comme, tu ne travailles pas mercredi, peux-tu aller avec lui chez, Ouistiti pour en acheter une paire.
    
    Moi : bien sûr, mais c’est un service qui se paie.
    
    Ma femme (avec un sourire coquin, et glissant sous la couette) : tu es un obsédé sexuel.
    
    Moi : mais tu adores ça être avec un gros dégueulasse
    
    Et je sens son souffle chaud sur mon ventre, puis ses lèvres qui se posent sur mon pubis, sur mon gland. Sa langue douce descend le long de mon sexe, remonte. Redescend, mordille mes testicules, qu’elle aspire, pendant qu’un doigt inquisiteur, force doucement l’entrée de mon anus. J’adore, j’écarte les cuisses, pour m’offrir pleinement à cette caresse. Sa bouche est toujours active. Elle m’enserre le sexe, sa langue tourne autour de mon gland. Avec sa deuxième main elle me masturbe. Très vite je sens mon plaisir monter, ma respiration s’accélère. Elle va de plus en plus vite, sa langue ne bouge plus, elle se serre de sa bouche comme d’un sexe.
    
    Moi (au bord de l’explosion) : je vais jouir chérie attention.
    
    Elle ne s’arrête pas, elle accélère même le mouvement, et tout à coup j’explose, je gicle a grands jets de foutre, qui vont se répandre dans sa gorge, sur sa langue, sur les parois intérieurs de ses joues.
    
    Moi (jouissant) : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, tu es trop bonne ...
    ... mon amour,
    
    Pendant que je me remets, de mes émotions, je sens sa langue, passer partout et me nettoyer entièrement le sexe. Elle récupère tout, remonte à ma hauteur, et en m’embrassant goulûment, me refile une partie, de ma semence, que j’avale en souriant.
    
    Ma femme (se collant contre moi) : voilà tu achèteras de belles chaussures à ton fils. fais de beaux rêves.
    
    Quelques jours plus tard, je me présentais, avec mon fils au magasin de chaussures pour enfant.
    
    Deux dames, se tiennent derrière la banque. Une grande sèche, au cheveux blond ondulé, tombant sur les épaules, sans forme, (plate), la cinquantaine, elle porte une grande robe, genre robe de mormons dans leur campagne. Et une plus petite, brune, coffrée avec un carré frisé, elle porte un pull à col roulé, moulant, et un jean moulant lui aussi, laissant apparaître un joli corps ferme et bien fait, de jeune femme sportive, d’environ 35 ans.
    
    Nous : Bonjour Mesdames
    
    Elles : bonjour Messieurs
    
    La grande blonde s’approchant de nous
    
    Elle : que puis je faire pour vous
    
    Moi : c’est pour mon fils, une bonne paire de chaussures pour l’hiver
    
    Elle : asseyez-vous, il fait quelle pointure ce jeune homme
    
    Moi : aucune idée (puis interrogeant mon fils) tu sais toi
    
    Lui : 36, 37 je ne sais pas
    
    La petite brune : (tout sourire, venant à notre rencontre avec une toise) ah ! ces hommes, ils ne savent pas grand-chose, tu en penses quoi Elisabeth ?
    
    Elisabeth : (la grande blonde) je suis bien d’accord avec toi ...
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