1. Lectures érotiques (11). Esparbec : La jument (Editions La Musardine, 2008)


    Datte: 20/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... remplissait bien ; elle regardait ballotter à chaque pénétration son gros ventre de femme enceinte et la tige de chair qui coulissait entre ses poils ; la mouille dégoulinait dans la raie de ses fesses, chaude, gluante.
    
    • Vous mouillez beaucoup, observa N. La prochaine fois, il faudra penser à mettre une serviette sous vos fesses.
    
    Mortifiée, Mélanie s’efforça de ravaler sa jouissance, mais il la ramona jusqu’à ce qu’elle cède, et cette fois, comme elle pouvait se laisser aller, elle sanglota carrément. Sans attendre qu’elle reprenne ses esprits, N. fit couler de l’eau dans une cuvette et lui passa des compresses stériles. Elle put procéder à une toilette sommaire. Il n’y avait pas de paravent et elle dut s’accroupir devant lui au-dessus de la cuvette.
    
    Pendant qu’elle se lavait le cul, ils échangèrent quelques paroles, comme si de rien n’était.
    
    Il fut question de la grossesse de Mélanie et du temps qu’il faisait, très doux pour la saison. N. lui donna à nouveau le numéro de sa ligne directe.
    
    • Essayez de ne pas le perdre, cette fois.
    
    En la reconduisant, la réceptionniste arborait un air revêche ; elle se montra tout juste correcte. Par la suite, N. s’arrangea pour qu’elles ne se trouvent plus en contact. Mélanie arrivait par une seconde issue et entrait directement dans une pièce minuscule, sans fenêtre, une sorte de débarras contigu au bureau. Là, nue, assise sur un fauteuil, elle attendait que N. vienne la chercher. Il y avait un bidet pliant, une ...
    ... poire à injection et des serviettes nid-d’abeilles dans un placard. Souvent, quand elle se branlait sur le fauteuil en écoutant ce qui se passait à côté, Mélanie se faisait l’effet d’être une putain qui attend son client.
    
    Elle prit l’habitude d’aller voir N. deux ou trois fois par semaine, toujours l’après-midi. Quand elle devint trop enceinte, il la sodomisa. C’est une pratique à laquelle son mari n’avait jamais eu recours, et qui lui rappela d’autres souvenirs d’adolescence, quand Kim et elle se faisaient enculer par des copains du lycée pour rester pucelles. De plus en plus, ses relations sexuelles avec N. prirent un tour masturbatoire dans lequel l’imagination jouait un rôle primordial.
    
    Ce qui les excitait le plus, c’était qu’elle attende dans la petite pièce, à l’insu de la réceptionniste et des patients. Nue, sauf ses bas et ses souliers, assise dans un vieux fauteuil, cuisses écartées, avec ses gros seins gonflés comme des pis par la grossesse, son ventre déformé. Il la gardait parfois plusieurs heures dans ce cagibi, et venait se servir de son anus entre deux visites ; il la pénétrait et la faisait jouir en jouant avec ses seins, qui étaient très sensibles. Il n’éjaculait presque jamais.
    
    3) MELANIE ET HUGO
    
    Sans hésiter, Mélanie s’agenouilla devant lui. Elle s’appliqua à bien le sucer, faisant tournoyer sa langue, lui flattant les couilles.
    
    De temps en temps, quand elle sentait qu’il était sur le point d’éjaculer, elle le mordillait, puis reprenait son ...
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