1. Jouir...


    Datte: 19/04/2021, Catégories: f, cérébral, revede, Masturbation fgode, Auteur: Ellecoucou, Source: Revebebe

    Milieu de la nuit, je n’arrive pas à dormir. La nuit est pourtant fraîche, hier il a plu une bonne partie de la journée. C’est la troisième fois que j’ouvre les yeux, il n’est que quatre heures du matin, et mes pensées volent vers toi à chaque réveil.
    
    Vers ce sexe qui m’attend, ce sexe qui m’échauffe le sang, m’échauffe l’esprit, me fait ressentir plus qu’un grésillement au fond du ventre. Comme un feu qui couve et demande à prendre vie. Tu m’en as trop bien parlé hier, il est resté gravé en fond d’écran, je t’imagine derrière moi, prêt à m’offrir.
    
    Ma main caresse ma peau, caresse mon épaule, seule ma nuisette noire me couvre. J’aime me frôler du bout des doigts, légèrement, faire plein de petits allers-retours sur ma peau si réceptive, pour m’envelopper d’une chair de poule, en petits frissons qui passent sur tout mon corps, j’aime trop ces douceurs.
    
    Oh ! Mes mamelons sont tout pointés, du bout de mon ongle, je contourne mon aréole du sein droit. Elle est assez large, pas très foncée. Je ne sais pas pourquoi mais mon sein droit a toujours reçu plus de caresses. Et mon téton est plus gros, plus réactif aussi, il a plus d’entraînement, c’est comme dans tous les domaines, l’action amène l’endurance.
    
    Frémir, ressentir mes doigts courir sur cette poitrine qui a envie d’être tétée, aspirée, gobée, malaxée. Oui gonfler sous la pression de mes paumes. Être pleine d’envie d’aspiration. La prendre à pleines mains et serrer fort, pour sentir la chaleur et la rondeur qui ...
    ... s’en dégage. Continuer mon chemin, descendre vers mon ventre ; ce qu’il est chaud et doux, moelleux et souple.
    
    Quelques tours d’index sur mon nombril et je continue vers mes cuisses entrouvertes. Ma toison pousse, je la laisse pousser, envie de retrouver mes poils, envie de cette garniture noire sur mon mont de vénus. Depuis un bon mois je ne m’épile plus. Pour te permettre de fouiner, fouiller, débusquer l’odeur sauvage de mon fumet, cadeau pour tes narines à notre prochaine rencontre. Pour l’instant elle n’est pas très fournie, ni foisonnante, ils ne mesurent qu’un centimètre environ mes petits poils noirs !
    
    Sois patient, bientôt je me prendrai en photo, sous plusieurs angles, sans pudeur, pour te la montrer… Oui, très bientôt nous allons pouvoir nous découvrir.
    
    Hier matin encore une fois au téléphone, nous avons joué à entretenir le désir, à le faire monter d’un cran supplémentaire. Petit rituel ô combien excitant. J’aime à être docile, à obéir à tes mots. Je réclame le son de ta voix, ton accent envoûtant, eux seuls suffisent à émoustiller mon bas-ventre.
    
    Quand tu me demandes de m’allonger nue sur mon lit à plat ventre, je le fais. Quand tu me demandes de remonter mes jambes, tendre mes fesses au plus haut, je le fais. Quand tu me demandes de ne pas me toucher, de rester à genoux, en lordose, je le fais…
    
    Je fais tout ce que tu me murmures, désirante et soumise, je suis. Oh ! Douce et bonne attente.
    
    Il me plaît d’être femme demandant d’être baisée. D’être ...
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