De la piscine à la terrasse - Histoires de Sexe

De la piscine à la terrasse

... sexe sur le dallage rugueux, confiant et heureux de pouvoir vivre sa sexualité déviante sans être jugé.

Je le regarde faire, comme la lopette qu’il est. Et cela me plaît au plus haut point. Il rampe à terre pour venir à moi, et comme la chaîne est trop courte, il se contente de mon pied. Il le lèche, entourant mon gros orteil de ses lèvres pour le suçoter. Ses yeux me regardent avec douceur et timidité, comme s’il craignait ma brutalité. Ou simplement que je veuille le repousser avec mépris, que je le répudie comme un être sans aucune valeur.

— Alors, petite allumeuse, c’est ça que tu veux, me sucer les orteils ?

J’éclate de rire et continue :

— À moins que ce soit autre chose que tu préfères sucer…

Je ressens ses propos insultants comme autant de souillures, des marques au fer rouge qu’il me faudra exposer à tout jamais, maintenant que je me suis jeté tout entier dans ce puits sans fond, cette demeure où cet homme va sans doute me séquestrer, j’en suis sûr à présent. Je ne mesure pas encore l’étendue de la déchéance ...

... qu’il me faudra y subir. Pour moi, tout cela est aussi terrifiant qu’exaltant. Mais je sais que je ne serai définitivement plus le même. Que je ne serai plus jamais ce joli adolescent à sa maman.Je continue à suçoter son gros orteil en me relevant sur les genoux, face contre terre, mu par toutes ces images de domination et de soumission vues sur le net dont je n’ai de cesse de me rassasier, enfermé, seul, des heures durant dans ma chambre. Croupe relevée, je lui expose tout, mon anus comme mon sexe. Je ne lui cache plus rien, tout est à lui.

Il se met sur les genoux, au risque de les égratigner. Mais ainsi il m’expose son petit cul qui ne va pas rester très longtemps vierge. Il le sait tout comme moi. Il a peur, mais il aime la crainte que je suscite en lui, cela se sent. Il comprend très bien que tout ce que je lui fais subir est ce qu’il recherche sans oser le demander. Je reste assis mais rapproche mon bassin de son visage, présentant ma queue tendue face à sa bouche.

— Dis-moi, petite allumeuse, tu en as déjà vues des comme ça ?