1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... de sa pensée intime.
    
    "Sois tranquille, je ne te casserai pas la queue, dit-elle tendrement. Je te la suce, tu le sens ? Je te la suce avec le trou du cul."
    
    Ce qu'elle faisait, je n'aurais su le dire. Mais sa bouche, en effet, ne m'aurait pas énervé davantage. Il me devenait difficile de parler. Elle suivit sur mon visage le reflet de ma sensation et, sans avoir besoin de m'interroger pour savoir s'il en était temps, elle pressa peu a peu l'allure de ses reins Jusqu'à l'adagietto, me sembla-t-il. Je crois que je murmurai: "Plus vite !" et qu'elle n'y consentit pas. Je n'ai qu'un vague souvenir de ces dernières secondes. Le spasme qu'elle obtint de ma chair fut une sorte de convulsion dont je n'eus pas conscience et que je ne saurais décrire. Aussi, ma première question fut-elle, après deux minutes de silence :
    
    "Qu'est-ce que tu m'as fait ?
    
    - Un joli petit travail avec mon trou du cul, fit-elle en riant. Tu as déjà enculé des femmes ?
    
    - Oui. Il y a une heure. Une toute jeune fille qui ne s'y prend pas mal, pourtant.
    
    - Pas mal du tout. Elle a du muscle, hein ? et elle galope ?
    
    - Mais toi...
    
    - Mais moi je suis la première qui t'ait sucé la queue par là. Tu veux savoir comment je fais ? Je te dirai ça demain. Laisse-moi me lever. Tu veux savoir aussi pourquoi ? Pour accoucher de l'enfant que tu viens de me faire : la petite sœur de mes trois filles."
    
    Quand elle m'apparut à nouveau, toujours nue et corrigeant des deux mains sa coiffure derrière la nuque, ...
    ... ma jeunesse méconnut que, par ce geste relevé, Teresa voulait moins rentrer ses petits cheveux que tendre ses deux seins dont elle était fière. Je n'ai jamais été de ces adolescents qui dépérissent pour les maturités : mais une pécheresse de trente-six ans, quand elle est belle de la tête aux pieds, c'est un "morceau", disent les sculpteurs ;" c'est une femme", disent les amants. Et qu'est-ce que n'était pas cette femme ? Mettez la question au concours ; elle départagera curieusement les hommes. Teresa nue ressemblait à un mezzo d'opéra. Vous alliez dire : à une fille de bordel ? Pas du tout. Vous murmurez : c'est la même chose ? Non. C'est le jour et la nuit. Si vous ne connaissez les actrices que par les conversations de fumoir, n'en dites rien. Les belles cantatrices qui vivent de leur lit et les filles souvent plus belles qui chantent leur âme sentimentale en montant un escalier rouge n'ont guère d'autre analogie que leur commune aisance à marcher presque nues, et à se faire traiter de putains. La fille de théâtre aspire de toutes ses forces à la liberté. La fille de bordel a besoin d'esclavage. En apparence la profession la plus servile des deux est plutôt la première. En fait la cabotine est montée en scène pour se libérer de sa famille ou de son amant par esprit d'indépendance ; la bordelière s'est jetée dans la servitude, aimant mieux obéir aux caprices des autres que forger elle-même les jours de sa vie. Dès sa première année de Conservatoire, la fille de théâtre se ...
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