Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... fois, j'entrai en fureur. Sur un "Tu te fous de moi !" suivi d'autres paroles, je la battis. Elle riait de toute sa voix sonore en luttant des bras et des jambes. Désarmée par son rire, elle se défendait à l'aveuglette. Je la couvrais de coups et d'attouchements qui ne semblaient lui faire aucun mal; puis ce rire m'exaspéra, et, ne sachant pas où la prendre pour la battre, j'empoignai une touffe de poils, je tirai... Elle poussa un cri. Et comme je crus l'avoir blessée, je tombai dans ses bras avec confusion. Je m'attendais à mille reproches ; mais elle ne songeait guère à me dire quoi que ce fût qui eût refroidi mon ardeur pour elle. Même en criant elle ne cessa de rire que pour sourire et s'accuser :
"Voilà ce que c'est que d'avoir tant de poils au cul ! Quand tu coucheras avec Lili, je te défie de lui en faire autant."
L'incident rompit ma v******e et hâta le dénouement. Teresa n'avait pas un instant a perdre pour m'offrir son caprice en guise de pardon. Elle me l'offrit sans me consulter, avec une habileté d'organe et de posture qui tenait de la jonglerie. Couchée avec moi sur le flanc et me prenant les hanches entre ses cuisses relevées, elle passa une main sous elle y fit je ne sais quoi puis me dirigea comme il lui plut. La prestidigitation de certaines courtisanes réussit des tours incompréhensibles. Comme un jeune premier qui s'éveille dans le jardin d'une magicienne, je faillis soupirer : "Où suis-je?" car mon enchanteresse demeurait immobile et je ne savais ...
... pas bien où j'étais entré. Je me tus pour garder un doute qui me laissait une espérance. Mais le doute s'évanouit aux premières paroles.
"Ne t'occupe pas de moi, dit-elle. Ne bouge pas. N'essaie pas de me prouver que tu sais t'y prendre. Ricette vient de me le dire ; je m'en fous pour ce soir. Quand tu m'enculeras toi-même, je déchargerai sans me toucher. En ce moment c'est moi qui me fais enculer et tu vas voir ça ! mais je ne veux pas jouir.
- Et si j'aime mieux ta jouissance que la mienne ? Si je te la donne de force ?
- De force ? dit Teresa. Ne me touche pas ou je te vide les couilles en un
tour de cul... Tiens !... Tiens !... Tiens !"
Elle était affolante. La v******e et la souplesse de sa croupe dépassaient tout ce que j'avais éprouvé dans les bras des autres femmes. Cela ne dura que l'instant de m'en faire une menace. Et elle reprit son immobilité. Alors, malgré le trouble où elle jetait mes sens, je ne voulus pas même attendre la séparation de nos corps pour faire savoir à Teresa que je n'aimais point à être bousculé. Je lui déclarai que je la trouvais belle, extrêmement désirable, mais qu'après ma vingtième année je me croyais un homme et non un enfant ; que je n'avais nullement le vice de prendre plaisir à la tyrannie d'une femme ; et je ne sais comment je le lui dis, car mes esprits étaient fort agités. Elle aurait pu me répondre que sa menace avait suivi la mienne : elle n'en fît rien, redevint plus douée et garda pourtant un certain sourire autour ...