Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... les pucelles qu'on viole ! fit Mauricette qui s'énervait. Je ferai comme elles, je ferai semblant de pleurer sur mon bras et j'ouvrirai les fesses.
- Et à quoi sentiras-tu que je te viole ?
- A quoi je le sentirai ? dit-elle en serrant les dents. Jamais je ne me suis fait enculer à sec ; tu vas me le faire et tu me demandes à quoi je sentirai que tu me violes ? A quoi je pourrai m'imaginer que tu me dépucelles ?
- Alors, répète-moi que tu le veux ! que c'est ton plaisir ! Sinon, je te jure que je ne pourrai pas.
- Je le veux ! je le veux ! je le veux ! fit-elle doucement les yeux grands ouverts. Viole-moi par le cul ! et plus je te crierai que j'ai mal, plus ça voudra dire que je t'aime !"
II m'est plus que pénible, vraiment, de raconter la scène suivante avec détails. Je ne le puis. Elle me fait honte. Je n'avais à aucun degré le vice que Mauricette me demandait de satisfaire. Il m'était arrivé de battre les femmes qui veulent être battues, mais ce n'est rien, ce n'est rien, auprès du souvenir que cinq minutes d'égarement… Bref, quand j'eus "violé" Mauricette, je sentis par la chair mieux que je n'avais compris par la pensée combien le plaisir et la douleur étaient nécessaires à sa volupté. Je me rappelai la dernière de ses confidences ou plutôt de ses tentations, et, comme j'eusse effleuré une femme sensible aux caresses, je meurtris les lèvres si tendres de cette virginité qui aimait les morsures. Je les meurtris entre mes doigts, lentement, longtemps et ...
... plus cruellement sans doute que Teresa ne les avait mordues, car, après quelques
minutes d'une endurance et d'une excitation sexuelle également extraordinaires, Mauricette éclata en sanglots. Je n'oublierai jamais cet instant de ma vie. Ce ne fut qu'un instant. Aussitôt après, sanglotant toujours mais se retournant pour m'étreindre, elle me dit, elle me cria, bouche à bouche entre vingt baisers:
"Pardon! pardon de pleurer ! pardon!... mais veux-tu te taire ! C'est moi qui suis honteuse ! Ah que tu me torturais bien ! c'était bon ! j'ai joui comme si je mourais ! et puis... je ne sais pas pourquoi... j'ai pleuré comme une bête !... c'est qu'aussi... c'est qu'aussi…"
Je l'entendis haleter, à croire qu'elle suffoquait ; puis elle sanglota de nouveau, me serra de toutes ses forces et avec un accent admirable elle trouva ce cri d'amour : "Jamais personne ne m'a fait aussi mal que toi !"
CHAPITRE XII
Trente heures s'étaient écoulées depuis la scène précédente. Teresa et ses filles avaient passé la nuit dans la banlieue chez une parente un peu putain, elle aussi, et d'autant plus empressée à les recevoir. Mais je savais déjà qu'après une assez longue discussion, à laquelle toutes quatre avaient pris part, Teresa s'était rendue aux volontés de Mauricette. Je savais même en quels termes elle avait capitulé. Ainsi que Mauricette l'avait bien prévu, Teresa s'était écriée :
"J'aime mieux le sucer que le vendre, ton pucelage, ma gosse ! J'aime mieux ouvrir la bouche dessous ...