Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... veux ; mais toi, plus tu me déchireras, plus je jouirai."
Soudain, avec sa souplesse de métamorphose, elle releva la tête et me rappela d'un mot son âge véritable.
"Veux-tu jouer ?
- Oui ; mais pas à te dépuceler ?
- Si. On va jouer à me dépuceler par où je ne suis pas pucelle ! Fit-elle en riant.
- Quelle gosse tu fais ! Et quel rire tu as ! Comment! c'est la même Ricette qui vient de me raconter ces histoires de sang, de sperme, d'i****te, de saphisme, de sadisme...
- Oh ! et quoi encore ! En voilà des mots à septante-cinq centimes, comme disent les Belges !
- Tu as quatorze ans et demi ? Non. Il y a des minutes où tu as trente- neuf ans et d'autres où tu en as sept.
- Maman aussi. "
Cette réponse me laissa muet. C'est un des mots les plus justes et les plus extraordinaires que j'aie entendus. Il me parut que Ricette pensait: "Tu es plus gosse que moi, sinon tu saurais bien que c'est vrai pour toutes les femmes et quel que soit leur âge." Elle le pensa, mais ne voulut pas le croire, car les jeunes filles n'aiment guère à s'imaginer plus sages que leurs amants. Toute excellence qu'elles leur prêtent est même une excuse qu'elles se donnent de se laisser entraîner par tant de perfections. Et, sûres de s'en parer à leurs propres yeux, elles nous couvrent de qualités pour le seul plaisir d'être généreuses. Cela dit, Mauricette reprit son idée :
"Tu m'auras pris deux pucelages sur trois. J'aurais voulu te donner aussi le troisième... ou le premier… ...
... celui que je n'ai plus... celui que j'ai laissé vendre... enfin le pucelage de mon derrière... tu comprends le français ?
- Et tu veux le refaire ? avec de l'eau d'alun ?
- Oh ! Maquerelle ! fit-elle en riant. Ne crois pas que mon pucelage de devant soit refait. Les pucelages raccommodés, on les vend très cher ; on ne les donne pas."
Et elle rit aux éclats sur ce qu'elle venait de dire. Puis, se frottant à moi de tout son jeune corps, elle remonta en quelques mots jusqu'à un état moyen entre la gosserie et la lasciveté : deux mots presque synonymes.
"On va jouer. Oublie que tu m'as enculée avant-hier. Oublie-le.
- Je ne m'en souviens plus du tout.
- Je suis une gosse toute seule. Maman n'est pas là. Je ne sais rien, pas même ce que c'est qu'une queue. Toi, tu es un satyre et tu vas me violer par le trou du cul.
- Te violer ?
- Veux-tu jouer comme ça ? ou me répondre zut chaque fois que je te fais une proposition ?... Je dis "zut" parce que je suis putain. Si j'étais une jeune
fille du monde, je dirais que tu me réponds merde.
- Ma Ricette chérie, fis-je en riant, ne me dis pas que tu es putain maintenant. Jamais je n'ai mieux compris ton petit tempérament de miché. Tu es vicieuse comme un vieux magistrat. Mais, moi, je suis incapable de violer une femme. La résistance me glace au lieu de me tendre. Jouer à violer… ce n'est qu'un jeu... Essayons... mais si je te rate ? j'en serai désespéré, tu m'en voudras et tu...
- Mais elles ne résistent pas, ...