1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... plaisir. Et pendant que je te regretterai tu baiseras avec les autres. Faisons le contraire. Laisse-toi dépuceler par quelqu'un et ensuite nous baiserons tant que tu voudras."
    
    Mauricette demeura songeuse. Je sus plus tard qu'elle avait failli me dire:
    
    "Pourquoi ça vaut-il deux mille francs, si tu n'en veux pas pour rien ?"
    
    Mais elle garda le silence et, pendant qu'elle réfléchissait, il me vint une idée qui, heureusement, finit par la séduire.
    
    "Pourquoi ne me donnes-tu pas ton autre pucelage ?
    
    - Lequel ?"
    
    Fit-elle avec stupeur, Elle ne comprenait pas du tout. Comme elle était toujours sur mes genoux, je la serrai contre moi et je lui dis plus bas :
    
    - "Voyons. Je ne te gronderai pas devant tes sœurs mais personne ne nous entend. Est-ce que tu n'es pas honteuse, à ton âge, de ne pas encore savoir sucer ?"
    
    Oh ! Si ! elle était honteuse! Elle devint rouge comme une enfant à qui son confesseur reproche un péché mortel.
    
    "Comment, tu vas avoir quinze ans et tu ne sais pas !
    
    - Ah ! si je te racontais...
    
    - Oui ; mais c'est de l'enfantillage. Il faut te guérir de ça. Veux-tu essayer ? Veux-tu essayer toute seule avec moi ?"
    
    Elle me mit les bras autour du cou et, cachant sa tête confuse entre ma joue et mon épaule, répondit :
    
    "Oui, je veux bien essayer avec toi."
    
    A peine avait-elle accepté ma proposition que je regrettai de la lui avoir faite. "Comment! me disais-je, voilà une gosse que je refuse de dépuceler pour ne pas la faire saigner et je ...
    ... lui offre cela en échange quand je sais que cela lui donne le haut-le-cœur ? Mais, enfin, si elle vomit ?... Ainsi je ne veux pas lui laisser le souvenir d'une souffrance et je risque de lui laisser le souvenir d'une nausée? Ce sera gai pour elle et moi si l'expérience finit ainsi !" Ces tristes réflexions se dissipèrent lentement. Je trouvais l'idée plaisante de donner une leçon à une fille de Teresa. Et puis la difficulté même de la tentative m'attirait. J'espérais un peu qu'avec moi ce ne serait point comme avec les autres ; nul ne se confond avec la foule ; et puisqu'il fallait bien qu'un jour Mauricette apprît à sucer, pourquoi ne serait-ce pas moi qui lui en donnerais le goût ? Oui, je disais le goût, je ne doutais de rien.
    
    Mauricette revint nue du cabinet de toilette et elle m'enhardit dès le premier mot :
    
    "Je sens que ça ira bien." Elle ajouta malheureusement: "Ousqu'on peut cracher ?
    
    - Cracher ? Mais ça ne se crache pas ! En voilà des principes ! Comment, tu sors d'un pensionnat où l'on t'a élevée avec des petites filles du monde et elles ne t'ont pas dit qu'elles avalent ?
    
    - Oh ! Si ! elles me l'ont dit ! et Dieu sait ce qu'elles n'avaleraient pas ! J'en ai vu qui auraient appris des choses à Lili. Mais moi, je ne suis pas du monde, je ferai comme au bordel, je cracherai.
    
    - Vous avalerez, mademoiselle, et tout de suite, au lieu de garder ça dans la bouche pendant trois minutes jusqu'à ce que vous ayez fini de téter ; comprenez vous ? On vous a bien mal ...
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