Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... quand je l'embrassai ; puis elle me suivit librement chez moi. Oh ! pour me faire une scène ! Je m'y attendais bien, j'étais en effet inexcusable : je l'avais abordée la première ; elle s'était donnée ; elle m'avait envoyé elle même sa mère et ses sœurs par esprit de famille mais depuis deux jours je l'oubliais, elle, Ricette, à qui je devais tout. Les hommes sont des monstres : qu'allait- elle me dire ? J'avais des remords. J'en eus même davantage une minute après ; car Ricette me parut plus jolie que l'avant-veille et nos remords sont très sensibles aux fluctuations de nos tendresses. Qu'allait-elle me dire ? Je préparais en hâte quelques réponses aux reproches que j'attendais ; mais si j'avais prévu quelque phrase, ce n'était certes pas celle que Ricette avait sur les lèvres.
"Tu vas me dépuceler", dit-elle à mi-voix.
Il ne manquait plus que cela ! Et, comme malgré moi ma physionomie montrait plus de stupéfaction que d'empressement, Ricette n'attendit même pas la
réponse :
"Ah! bien! fit-elle. Tu es gentil !... Je t'ai montré mon pucelage avant-hier, tu peux le prendre aujourd'hui et tu n'en veux pas ?"
Je la pris sur mes genoux, elle se laissa faire et, avant que j'eusse dit un mot, elle continua :
"Quel drôle de caractère ! tu fais toujours le contraire de ce qu'on te demande ! Pendant trois heures, Charlotte t'a supplié de l'appeler putain ; ça l'excite quand elle va jouir ; et tu n'as pas voulu ; elle nous a dit qu'elle n'avait jamais vu un homme ...
... aussi entêté. Mais le lendemain c'est maman que tu as appelée dix fois putain parce qu'elle n'aime pas ça. Es-tu rosse !
- Non. Pas rosse du tout.
- Oh !... Et c'est pas fini!... Tu sais que maman et Charlotte ont le goût
de se faire enculer. Alors tu leur as dit que tu n'aimais qu'une chose, c'était de baiser. Mais moi j'ai un pucelage à vendre, je te le donne...
- Tu es un amour !
- Va donc ! Quand Charlotte en veut par derrière, tu lui en demandes par- devant, et moi, quand je me donne par-devant, on ne me prends pas."
Je poussai un profond soupir. Être obligé de s'expliquer longuement et savoir d'avance qu'on ne sera pas compris est une pénible situation. Je renonçai donc aux arguments les meilleurs pour ne retenir que ceux dont Mauricette pouvait sentir la raison :
"Écoute-moi. Tu as quatorze ans et demi ?
- Oui, et je peux baiser puisqu'on m'encule.
- Bien. On peut te dépuceler ; mais tu sais qu'à ton âge ça te fera beaucoup plus de mal par-devant que par-derrière ?
- Ça m'est égal, fit-elle tendrement.
- Et tu sais que ça me fera mal à moi aussi ?
- Ça, je m'en fous encore plus ! dit-elle avec gaîté.
- Et qu'est-ce qui arrivera le soir ? Comme vous êtes gousses toutes les quatre, ta mère et tes sœurs verront le soir même que ton pucelage est enfoncé. Ta mère sera furieuse. Nous serons tous brouillés à mort. Et que nous restera-t-il de tout cela ? Le souvenir d'une demi-heure où nous aurons eu, toi et moi, beaucoup plus de mal que de ...