1. Trois filles et leur mère


    Datte: 16/04/2021, Catégories: Anal Première fois Inceste / Tabou Auteur: luciole06, Source: xHamster

    ... quand je me branle, mais... ah ! quelle infection que ce foutre-là. J'ai failli dégueuler, il a fallu que je crache. Alors, quand mon amant... je veux dire mon miché... a vu que le premier jour ça me rendait malade, il a voulu que son bouc serve tout de même à quelque chose et pendant quatre ou cinq dimanches, après que j'avais sucé l'âne, le taureau, le porc et les chiens, il me faisait monter par le bouc, moi toute nue à quatre pattes dans l'herbe du jardin… Tu ne veux pas m'appeler salope ? mais j'ai joui, tu m'écoutes ? J'ai joui pendant que le bouc m'enculait. Et j'ai fini par en boire... du foutre de bouc, les derniers dimanches. Écoute-moi... Regarde-moi... Je l'ai bu cinq fois, le foutre du bouc ! Pour me récompenser, son maître m'a acheté un singe qui m'enculait aussi et que je suçais comme un homme. Du 20 août à la fin de septembre, ce que j'ai pu faire, tu ne le croirais pas ! C'est alors qu'il s'est fatigué de me voir sucer le membre des mâles et qu'il a imaginé de me faire gousser les femelles. Il en avait trois : une chèvre, une génisse et une ânesse. Je leur faisais minette à genoux. Aussitôt après, il enfilait celle que j'avais léchée et il déchargeait, disant qu'il aimait mieux jouir avec une bête que de donner son foutre à une putain comme moi, mais que je pouvais le chercher avec ma langue, son foutre, dans le con de la génisse ou de l'ânesse... ou dans leurs trous du cul quand il les enculait.
    
    - Tu délires ! tu rêves ! tu inventes !
    
    - Sur la tête de ...
    ... maman, je te jure que c'est vrai ! Veux-tu la preuve ? Fais-le devant moi et je te dirai d'avance comment ça se passe. Tu sais que tu n'en sais rien. Est-ce que je le saurais, moi, si je ne l'avais pas fait cinq dimanches de suite ? Dans le con de la bête, le foutre s'enfonce, il faut le repêcher avec le doigt ; mais par le cul il sort tout seul. La langue suffit !...
    
    - Charlotte, je ne peux plus. Assez ! Assez !... Ne me dis plus rien ! Dors ! Couche-toi. Calme-toi !... Je ne sais comment te parler... Tu es folle, tu es belle, tu m'aimes, tu ne baises pas... Tu m'aimes et tu fais plus d'efforts pour me répugner que tu n'en ferais pour séduire personne...
    
    - Jamais tu ne mettras plus ta bouche sur ma bouche.
    
    - Non.
    
    - Dis que je suis une salope.
    
    - Non, parce que tu es belle. Roule ta beauté dans l'ordure, ce sera toujours ta beauté.
    
    - Crie que je suis une salope quand même.
    
    - Tu es une pauvre fille! lui dis-je. Quoi que tu hurles contre toi, je ne crois rien, je n'entends presque rien. Tu ne m'inspires que deux instincts: ou désir malgré toi ; et beaucoup, beaucoup de pitié."
    
    Deux instincts ? J'en éprouvais trois. Le plus faible était le désir ; le plus lourd, celui que je taisais. Ne croyez pas que ce fût le dégoût. Charlotte me donnait tant de pitié que j'en avais de reste pour couvrir de ce manteau sa vie tout entière, sa vie inconnue. Mais mon instinct le plus fort, c'était le sommeil. Les émotions bouleversées que nous laissent les heures tragiques ...
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