Trois filles et leur mère
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
Anal
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: luciole06, Source: xHamster
... sur le lit, aussi faible et brisée que si elle venait de revivre son récit. Je crus qu'elle s'apaisait. Je répondis à voix basse :
"Rien. Tais-toi. Dors. Je vais éteindre."
Alors elle se souleva sur un coude et reprit, mais d'un ton si calme que je la laissai parler. Je ne soupçonnais pas ce que j'allais entendre.
- "Connais-tu M... (elle me le nomma) qui est... (elle me dit son titre) à Aix ? L'avant-dernière année, j'avais dix-huit ans. Il m'a prise pour la première fois un soir de juin. Je le voyais vicieux. Il avait un grand chien avec lui. Je lui ai proposé de sucer le chien.
- Charlotte !
- C'est mauvais, du foutre de chien et c'est fatigant à sucer parce qu'ils n'en finissent pas de décharger, les pauvres cabots ! mais j'étais habituée, va ! et dans le métier de putain un lévrier vous dégoûte moins qu'un magistrat. Malheureusement cet homme-là n'avait jamais vu son chien sucé par une fille et ça l'a tellement excité que, pendant quinze dimanches de suite, jusqu'à la fin de septembre…"
Elle s'interrompit en secouant la tête avec un soupir comme si elle perdait le souffle.
- "Je te demande pardon... Écoute... Tu ne peux pas te figurer… Il avait une maison de campagne avec une basse-cour... Le dimanche il donnait congé à ses gens..., même au jardinier... Il m'emmenait... Je restais seule avec lui... toujours à poil et mes cheveux sur le dos... C'était en été… Pour quoi faire ? L'amour ? Ah ! Non ! pas avec une putain ! II s'amusait le dimanche à voir ...
... une fille de dix-huit ans avaler le foutre de tous les animaux. En quelques jours un charpentier lui a dressé un cadre en bois de chêne comme ceux où l'on enferme les vaches et les juments pour la saillie. Mais lui, au lieu d'y mettre la femelle, il y attachait le mâle et, quand l'étalon ou le taureau était ligoté, je passais dessous... Pour les chevaux je n'avais pas la bouche assez grande, mais avec la langue et les mains…"
Elle me vit pâlir et, obéissant encore à cette révolution astrale de son caractère qui, autour du mot "putain", passait régulièrement de la région plaintive a la zone exaltée, elle s'anima de phrase en phrase.
"Tu le sais bien que j'ai bu du foutre de cheval et du foutre d'âne, du foutre de taureau, du foutre de chien, du foutre de cochon. Au quatrième dimanche il m'a donné un bol où il avait branlé un a****l ! et j'ai bu ! et j'ai
su dire que c'était du foutre d'âne. Je connais mieux les foutres que les vins. J'ai vidé plus de couilles que de bouteilles dans ma putain de vie. Et c'est rien que tout ça, même du foutre de cheval, pourvu qu'on n'avale pas de travers. On se met la tête par-dessus, tu comprends ? entre le poitrail et le membre. Comme ça on reçoit la douche sur le palais, pas dans la gorge, et on ne s'étrangle pas. J'avalais tout. Après, tu peux me croire, je n'avais plus soif.
- Je t'en prie, tais-toi ! Cette histoire est pire que tout !
- Oh ! Non ! ce qu'il y a de pire, c'est le foutre de bouc ! Je suis pourtant courageuse ...