1. La culotte de Rose 2


    Datte: 13/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... Si Claudine … Oh! J’y pense, elle lui a peut-être annoncé que je serais consentante. Voilà comment tu es en possession de ma culotte sans me l’avoir volée. Me pardonneras-tu d’avoir été curieuse ? Embrasse-moi; je t’aime.
    
    - N’y a-t-il personne derrière le buisson ? Peut-être crois-tu m’aimer, j’ai du mal à m’en convaincre. Tu as tenu en main deux échantillons de pénis. Un petit, le mien et, à l’autre extrémité de la gamme, un morceau qui a eu le don de t’effrayer en raison de ce que tu nommes « son énormité ». Entre les deux il en existe une multitude, de dimensions variées, des sexes plus ou moins longs, plus ou moins gros. Pourquoi ta curiosité ne te pousserait-elle pas à rechercher la verge la mieux adaptée à ton propre sexe? Car la question demeure. Tu ne peux pas te jeter sur la plus petite quéquette par crainte de la plus imposante. Cherche le juste milieu.
    
    - Oh ! Tu me détestes ? Pourquoi ne vois-tu pas mon amour ?
    
    - Claudine et toi avez posé le problème en termes de sexe et d’importance de l’organe plus que d’amour sentiment. Il est donc logique de continuer tes investigations dans ce domaine. Tu dois trouver le pipeau le mieux adapté à tes lèvres afin d’en tirer le plus beau morceau de musique, pour parler comme Rodolphe. Je ne te rejette pas. J’ai une autre conception de l’amour, un peu par nécessité liée à la taille de mon « mignon », mais si différente. Rien ne presse entre nous. Explore les braguettes pendant un an. Je serais étonné de t’entendre ...
    ... répéter que tu m’aimes après tes travaux pratiques guidés par Claudine. Suis ses conseils avisés et tu renonceras à moi. Élargis tes horizons, Claudine possède de nombreuses références et te guidera. Je peux te reconduire chez toi.
    
    - Ça va, j’ai compris la leçon. Je trouverai mon chemin toute seule.
    
    Nos rencontres par la suite sont le fait du hasard. Je ne recherche pas la compagnie de Rose. Il nous arrive de nous saluer particulièrement quand nous nous retrouvons dans le même groupe. Le 30 avril nous nous croisons. Rose m’approche et m’interpelle :
    
    - J’irais bien au muguet demain. Accepterais-tu de m’accompagner ? J’ai à te parler.
    
    Tout ce que j’ai voulu oublier pendant des mois resurgit tout à coup. Depuis un an je couve mon complexe d‘infériorité. Aucune jeune fille n’a eu l’occasion de découvrir mon « infirmité » comme l’avait fait Rose ce malheureux premier mai. Claudine a tenté de s’informer, a voulu m’attirer dans la nature sous prétexte d’un coup de foudre. Je l’ai envoyée promener, j’ai refusé ses avances pour échapper à une prise de mesures trop précise. Elle m’aurait catalogué et humilié, classé et proclamé « infréquentable ». J’ai avancé ma passion pour une autre fille.
    
    - Son nom ? C’est mon secret.
    
    Après cette déclaration je me suis senti surveillé, y compris par Rose. On me suivait de loin, on m’épiait pour connaître le nom de ma belle : en vain. Je pouvais m’estimer heureux de ne pas avoir été dénigré par Rose. D’un mot, elle aurait pu me faire une ...
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