La culotte de Rose 2
Datte: 13/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Accent, Source: Hds
... sa plénitude. Je te montre le mouvement, tu exécutes un va-et-vient sur son membre, comme ceci. Tu saisis bien, c‘est facile, instinctif. Ça ne s’apprend pas à l’école, mais chaque femme devine ce qu’il faut faire. C’est indispensable si tu veux le voir se déployer entièrement et l’admirer dans toute sa splendeur. N’aie pas peur de serrer.
- Jamais je n’oserai.
- Mais il suffit de commencer. Tu l’embrasseras, tu laisseras guider ta main par la sienne et ça viendra tout seul. Lui aussi est un gentil garçon, généreux, prêt à satisfaire tous tes désirs. Si ça ne marche pas avec lui, je te proposerai l’un ou l’autre de mes amis presque aussi bien pourvus. D’accord ? Je te dirai où et quand.
- Claudine, est-ce si important ? Les dimensions d’un pénis font-elles la qualité de l’amour ?
- Pour les sentiments peut-être pas, pour le plaisir c’est primordial. Quand je veux jouir je préfère les longues de bon diamètre, celles qui me raclent les parois du vagin jusqu’au fond. Je les sens mieux. J’ai essayé un jour avec un type nerveux, sa quéquette était petite, je la perdais continuellement, notre rencontre a été un désastre. Mais une bonne grosse bien longue t’envoie en l’air à tous les coups quand elle te ramone le four, crois-moi.
- Hier donc, pour la première et seule fois, uniquement pour savoir à quoi ressemblait un membre imposant, à l’heure du rendez-vous fixé par Claudine, je suis sortie à la rencontre de Rodolphe. Tu sais la suite.
- Ta curiosité a failli ...
... déboucher sur un accouplement.
- J’ai effectivement eu peur, doublement. Gentil ou pas gentil, Rodolphe avait l’intention de passer de l’étalage de sa belle queue à un usage immédiat de son instrument. Il appelait ça un passage à l’acte et précisait :
-« Tu vois ma clarinette, essaie d’en tirer un son ».
S’il n’avait été question que de la prendre en bouche et de souffler dedans, je n’aurais pas dit non, ne serait-ce que pour en prendre correctement la mesure. Il a voulu plus :Il s’est montré tendre mais déterminé et pressé d’arriver à me pénétrer. Moi, j’étais troublée : sa verge m’a étonnée, l’audace de ses caresses m’a paralysée.
- Hum ? Tu l’as bien embrassé et ta main était active sur son engin. Tu ne semblais pas détester et tu ne faisais pas semblant.
- Je suivais les conseils de Claudine. Théoriquement il n’était pas question de plus. Une fois dans l’action j’ai eu l’impression de perdre la tête, j’ai été secouée par des frissons. A ce moment j’ai eu peur de ne plus pouvoir résister à l’appel des sens. C’est vrai. Mais la poussée de son gros machin contre ma chatte m’a terrorisée. Il allait me faire mal, très mal, il était trop gros pour moi. Alors je ne sais où j’ai puisé la force de refuser, mais je me suis révoltée. Tu as certainement entendu.
Et lui de dépit m’a traitée d’allumeuse et de sac à os : il m‘aurait prise sans amour et ajoutée à la longue liste des pucelles qu‘il dit avoir délorées. Alors là, il dépassait le contenu du plan de Claudine. ...