1. Soirée entre amis


    Datte: 13/04/2021, Catégories: grp, hplusag, fplusag, extraoffre, ascendant, Oral hgode, hsodo, Partouze / Groupe Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... revanche, précise le mari de Liliane. Mais tu as raison il ne me viendrait pas à l’idée de te traiter d’homosexuel. Nous sommes simplement des amoureux de la jouissance, de toutes les jouissances. Comme dit la chanson :« Main, bouche, con, cul, au plaisir tout est bon ! » N’est ce pas ma chérie ?
    
    Sa jeune femme reste silencieuse. Elle se reproche d’avoir déclenché les opérations, par bravade et jalousie envers la jouissance affichée par ses amis. Francine la prend dans ses bras.
    
    — Ne te fais pas de mauvais sang. En y réfléchissant, je pense que Roméo a raison. Papa n’a pas détesté ce qui lui est arrivé. Je l’observais. Son regard étincelant quand maman s’est approchée m’a rassurée. Il avait l’air heureux qu’elle ajoute sa caresse aux pénétrations de mon mari. Il n’aurait pas joui dans sa main dans le cas contraire.
    — Tu crois ?
    — J’en suis sûr ! affirme Roméo. Comme je suis sûr de ne pas t’avoir fais jouir ce soir. Viens dans mes bras que nous réparions cet oubli.
    — Et moi alors ? rouspète Francine.
    — Robert n’attend qu’un signe de ta part pour te témoigner sa reconnaissance.
    — Tu veux bien ? supplie celui-ci.
    — Mais oui mon gros, approche… Non, pas dans le cul… pas ce soir.
    — Tes désirs sont des ordres ma toute belle…
    
    oooOOOooo
    
    Pierre est perturbé. Presque plus par le comportement de Juliette et de Francine que par la sodomisation. Il n’ose rien reprocher directement à sa femme et s’en prend à sa fille.
    
    — Elle me déçoit Francine ! Je ne la reconnais ...
    ... plus. Je ne la croyais pas capable de se conduire aussi mal. Leurs amis ont une mauvaise influence. Tu devrais le lui dire toi. Tu es sa mère !
    — Moi je ne suis pas étonnée. Ta fille ne passait pas pour un parangon de vertu quand elle était étudiante ! Si tu as des reproches à lui faire, prends tes responsabilités. Tu t’en es bien gardé tout à l’heure quand elle nous a avoué leurs relations à quatre !« Vous vivez votre vie, comme vous l’entendez. Si tu es heureuse c’est le principal ! » Tu parles d’un hypocrite !
    
    Pierre baisse la tête sous le reproche. Ce soir il est dit qu’il n’aura pas le dernier mot. Il rejoint Juliette sous les draps. Ils n’ont pas enfilé les pyjamas qu’ils ont en réserve ici en cas de visite prolongée. De sentir la peau nue du conjoint contre leur épiderme, leur rappelle les premiers temps de leur mariage quand ils savaient se saouler d’étreintes interminables et passionnées. Il veut faire la paix. Il aimerait tant se faire pardonner, oublier les péripéties de l’après-midi…
    
    — Je t’aime ma chérie, je t’aime…
    — Même quand tu fais l’amour à ta secrétaire ?
    — Oh ! T’es pas gentille de me le rappeler. Tu m’en veux tant que ça ? J’ai bien compris la leçon va, je ne te tromperai plus.
    — Tst ! Tst ! Tst ! Ne fais pas de promesse que tu seras incapable de tenir. Non, je ne t’obligerai pas à un tel sacrifice. Tu pourras courir le guilledou à ta fantaisie à condition…
    — Quelle condition ?
    — Ah tu vois que tu n’avais pas l’intention réelle d’arrêter ! Va, ...
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