1. JE PRENDS PLAISIR DE VOIR MA FEMME ME COCUFIER...


    Datte: 13/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... gland. Qu’elle suçait avec une infinie délicatesse. Avec une lenteur démesurée en hochant les joues. Patrice, ses mains en appuie sur la tête de ma femme, faisait tanguer son bassin.
    
    Visiblement mon épouse prenait un certain plaisir à le sucer. Elle y mettait même une application qui aurait pu dans d’autre temps me rendre jaloux. Ce qui n’était pas le cas sur l’instant.
    
    Elle avait pris la bourse de son collègue dans sa main gauche, la soupesa, l’évalua, la prenait à pleine poignée avant de la malaxait tendrement pendant que sa bouche effectuait de savants allers et retours sur l’épaisse verge à l’énorme gland, sa main droite accompagnant le mouvement.
    
    J’ai honte de vous avouez, à vous, mes chers lecteurs qu’à cet instant je bandais, oui ! Je bandais, excité comme jamais. De toute façon, je ne pouvais pas être tourmenté, ce n’était pas ma femme qui le sucer, c’était son enveloppe charnelle, désincarnées, possédée par le démon de la perversion.
    
    Puis elle se positionna à quatre pattes sur le lit. L’amant s’empressa de l’imiter, se plaçant derrière elle. Il plaça son gros mandrin de chair au centre de sa cible et commença à la faire disparaître avec lenteur dans le derrière de ma moitié.
    
    Sur ma plate forme improvisée, mon érection ne diminuait pas, d’où au contraire. Tant je prenais plaisir à ce qui se dérouler devant mes rétines. Au point de ne pas pouvoir résister à pincer ma queue par-dessus l‘étoffe de mon pantalon. Là-bas derrière le carreau ma femme avait ...
    ... levé les fesses pour aller au-devant de son amant. Je devenais surexcité. Ma bite gonflée était maintenant devenu à l’étroit dans mon pantalon. Je ne résistais pas à la mettre à l’air et à me masturber, les yeux rivés sur ma femme qui se cramponnait au lit, pendant que son amant la baisait de toutes ses forces. Le visage rougi par le plaisir, elle remuait son cul dans tous les sens la bouche grande ouverte.
    
    Sous la brutale poussée, elle tomba le nez en avant. Le salaud en profita pour lui défoncer carrément la chatte. Elle s’offrait à lui, tendant encore et toujours ses fesses, le cul en l’air. Il la limait de plus en plus vite, de plus en plus fort aussi. Malgré la fenêtre fermée, je l’entendais jouir comme je ne l’avais jamais entendu jouir avec moi. Il m’en fallait pas plus pour me faire éjaculer à gros bouillons.
    
    L’excitation retombé, je m’interdis d’en voir plus. Je suis descendu de mon arbre et j’étais allé rejoindre ma voiture.
    
    Quelques kilomètres plus loin, au fond de mon lit, je n’avais pas pu fermer l’œil de la nuit. Regardant l’heure à chaque instant. Puis j’entendis une voiture s’arrêter sur le trottoir. Le moteur se coupait, puis une portière claquait. S’en suivit des bruits de pas dans l’escalier et enfin la porte de la chambre qui s’ouvrait. J’appuyais sur l’interrupteur, une lumière artificielle éclaira ma femme en train de se déchausser.
    
    - Bonjour, ne fis-je, pas trop dur ?
    
    - Ne m’en parle pas… que des emmerdes… bon n’en parlant pas, veux-tu, je ...