JE PRENDS PLAISIR DE VOIR MA FEMME ME COCUFIER...
Datte: 13/04/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Alainylon, Source: Hds
Je fus tout de suite en alerte. Il y avait quelque chose de pas très normal, sur l’altitude de ma femme en cette fin après-midi. Il était prévu qu’elle travaille cette nuit, mais la tenue qu’elle avait revêtue porté à confusion. M’incitant à me tenir sur mes gardes.
Après m’avoir annoncé qu’elle s’apprêtait à partir, je l’accompagnais jusqu’à l’entrée. Elle se saisit de son imperméable sur la patère, celui même qu’elle enfilait habituellement que pour la grande occasion.
Elle se justifia en attestant que les autres étaient sales. Pour compléter le méfait elle fourra ses pieds gainés de nylon blanc dans ses escarpins rouges au lieu et place de ses coutumières baskets.
Cela ira mieux avec mon imper ! Ce fut ses propres mots comme pour se disculper. Elle avait réponse à tout.
Je pris sur moi pour ne rien faire paraître à ses yeux. Alors que j’avais pris auparavant la ferme résolution de la suivre discrètement. Avec l’espoir de mettre trompé sur son compte.
J’avais attendu patiemment qu’elle prenne la route à bord de sa voiture pour débouler à mon tour sur le trottoir. Je sautais dans l’habitacle de la mienne et je lui filais le train. Cela avait été un jeu d’enfant de la rattraper. La conduite de nuit n‘avait jamais été son point fort.
Alors que je suivais à bonne distance, ses feux rouges en ligna de mire, une seule pensée me vint en boucle dans la tête : mais où donc pouvait-elle aller ? Surtout que la direction qu’elle avait prise n’était pas celui la ...
... menant à son boulot.
Elle me fit parcourir une vingtaine de kilomètre avant de s‘arrêter devant une grille que je reconnue, étant la demeure de son collègue Patrice. Tiens ! Tiens ! Je fus qu‘à demi surpris.
J’avais décelé ses derniers temps, qu‘ils y avaient entre eux deux, plus qu’une complicité professionnelle. Mais là, à croire qu‘elle était devenue sa maîtresse il y avait un pas qu‘elle avait sans doute franchis.
Après m’être garé un peu loin dans une rue perpendiculaire j’émergeais dans l’air tiède de la nuit. Tremblotant, je m’avançais jusqu’à la grille, là où ma femme avait été avalé quelques instants plus tôt.
Pour être à plusieurs fois venue dans ce lieu, je connaissais parfaitement l’endroit. Je savais qu’un gros chêne se trouvait dans le jardin, et que ce dernier dominait toute la demeure. Et cela me donna une idée.
Je m’engageais dans à l’intérieur de la court, coudes au corps, en une petite foulée rapide et souple, jusqu’à ce que j’atteigne mon but. Un coup d’œil en direction de la demeure, je m’aperçus des ombres aux seconds niveaux. Je supervisais l’objectif, tous les sens en alerte. Quelques branches s’avançaient jusqu’à l’aplomb de la pièce allumée. Ce fut un jeu d’enfant pour moi de l’atteindre.
De ce parfait poste d’observation, j’eus la douloureuse surprise de surprendre ma femme en compagnie de son collègue. Elle était dévêtue, agenouillée aux pieds de son amant, son pénis dans la bouche. Ses lèvres étaient affreusement déformées par le ...