1. Banquière perverse (11)


    Datte: 10/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... merde…t’as aucune parole…je vais te massacrer !
    
    — Noonnn…!
    
    Ai-je rêvé ou quoi ? Gladice a aussi entendu, et, sans hésiter, elle pousse le rideau et entre telle une furie dans la pièce. Je la suis et je découvre un horrible spectacle :
    
    Madame est au sol, en larmes : les vêtements en lambeaux, elle est nue, attachée par les poignets aux pieds de son bureau et par les chevilles à une grosse commode. Ses gros seins tombent au sol de chaque côté de son torse. Sa fille est accroupie au dessus de sa poitrine, agrippée aux cheveux de sa mère, la jupe retroussée très haut sur La taille ; je vois le liquide jaune couler sur sa mère.
    
    Mon sang ne fait qu’un tour, je bondis et attrape l’agresseuse par les cheveux. Je la jette au sol, elle part en roulé-boulé, puis en glissade et arrive à l’autre bout de la pièce. Elle se relève ; Gladice bondit comme un fauve dans sa direction et lui décroche une droite. Lacksimy vacille et hurle.
    
    — Putain ! Foutez, le camp ! Ce n’est pas vos oignons, barrez vous ou je vous étripe, putain ! Mais barrez-vous, bande de connards !
    
    — Mais tu vas la fermer ta grande gueule, espèce de malade ! invective de plus belle, Gladice en lui décrochant une baigne d’une force incroyable.
    
    — Oh… ! Mais je vais t’en coller une !
    
    — Mais T’es complètement barje. Oh ! Faut te faire soigner ! poursuit Gladice qui, sous LA menace de son adversaire lui décroche un violent coup de pied entre les jambes.
    
    Lacksimy se plie en deux de douleur, et prise ...
    ... de panique se pisse dessus. Vaincue, elle bat en retraite. Elle se relève et s’enfuit, Gladice la poursuit ; je me retrouve seul avec ma banquière en larmes et la détache. La pauvre femme est dans un triste état : ses vêtement sont en lambeaux, et pire encore, elle dégage une odeur pestilentielle : sa propre fille vient de lui pisser dessus - ce qui n’est finalement pas si propre - et pire encore… Je n’en crois pas mes yeux, c’est horrible ; elle lui a aussi chié sur le ventre …Quelle horreur, c’est à vomir ! Je suis mal à l’aise, j’ai pitié d’elle et lui demande :
    
    — Puis-je vous aider, Madame ?
    
    — Non, rien… Laisse-moi…s’il te plait, Issam. Je vous appellerai, toi et Gladice, si j’ai besoin de vous.
    
    — Bien Madame.
    
    Cette situation m’émeut, car j’étais loin de penser qu’il existait un tel conflit entre ces deux femmes, et que cela pouvait aller aussi loin. Mon éducation interdit de pareilles chose et ce manque de respect me met très en colère. Je repense aussi à la réflexion de Gladice, qui me disait qu’elle ne « sentait » pas Lacksimy.
    
    Je laisse Madame, assise sur le sol et recroquevillées sur elle-même, les genoux contre sa poitrine et la tête dans ses mains. Elle éclate en sanglots, je ne sais que faire ; alors je quitte la pièce en refermant la porte derrière moi. Je pars en direction opposée à notre arrivée et parcours les couloirs quand soudain j’arrive au salon que je reconnais. Je connais le chemin de la cuisine et m’y rends ; Gladice est là, hirsute et ...