Retours au pays et du nouveau à la cour tanibrinque
Datte: 10/04/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
massage,
pénétratio,
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... prend son plaisir, suivie presque incontinent par le prince qui inonde sa bouche.
Après un bref moment d’accalmie, il se remet à l’ouvrage. Sur ce Jennifer avale et l’imite. Il retrouve rapidement une belle tenue. Il ne veut décharger de nouveau dans sa charmante bouche et retire, à regret malgré tout, sa sucette aux lèvres gourmandes. En interrompant par là même son jeu de langue, il provoque chez Jennifer un grognement de déception. Il l’invite à sa mettre à quatre pattes, ce à quoi elle obtempère promptement. Il la saisit par les hanches et voyant que visiblement elle n’attend que l’estocade, entre en elle d’une poussée. La promptitude et la vigueur de l’invasion de son intimité n’offusquent en rien la belle qui se cambre et tend la croupe. Le prince parcourt la grotte d’amour longuement avec énergie, au grand contentement de la comtesse qui apprécie la cavalcade. De nouveau elle grimpe au septième ciel. Le prince poursuit cependant, mais la comtesse reste quelque peu amorphe. Quand il se répand en elle, ils se laissent aller sur la couche pour reprendre leur souffle. Apaisée, la comtesse considère d’un œil moins fiévreux la journée. Elle s’alarme des conséquences. Son mari va-t-il apprendre l’incartade ? Mais surtout que va penser le Duc de Roky de sa conduite impudique. Ne va-t-elle pas perdre son estime à s’être conduite comme n’importe quelle courtisane avide de faveurs et qui sont prêtes à tout pour s’élever, comme il y en a tant à la cour. Un sentiment ...
... d’indignité l’envahit. Elle se lève doucement pour ne pas éveiller le duc qui sommeille, enfile sa robe à la hâte, négligeant ses autres vêtements et s’éclipse pour rejoindre sa demeure.
Une fois rentrée chez elle, Jennifer n’ose plus reparaître au palais et prétexte une indisposition pour ne point reprendre son service de dame d’honneur de la souveraine. Plusieurs passent. Le Duc s’inquiète et lui envoie des messages, auxquels elle répond qu’elle a besoin de repos et finit même par annoncer son départ pour le château de son époux en province, pour profiter du bon air.
Le duc en est fort marri et ne l’entend point de cette oreille. Non seulement le désir de la serrer dans ses bras le taraude, mais surtout leurs conversations lui manquent cruellement. Aussi décide-t-il de se rendre chez la comtesse. Un matin, il prend deux paquets et part à cheval, seulement accompagné d’un garde. Quand on annonce son arrivée, Jennifer est éperdue. Malgré son désir, elle ne peut interdire sa porte au futur souverain. Quand le duc entre, elle n’a pas le temps de prononcer un mot :
— Madame, votre santé m’alarme. Je viens m’en enquérir de vive voix.
— Votre Altesse Royale est trop bonne. Il ne fallait pas qu’elle se dérange pour une indisposition qu’un repos loin d’une grande ville apaisera.
— Les terres du comte de Calbray sont fort éloignées et le château manque d‘agrément. Il est assez délabré.
— Si les conditions y sont trop rudes, j’irais me reposer dans la maison de mon père.
— À ...