Retours au pays et du nouveau à la cour tanibrinque
Datte: 10/04/2021,
Catégories:
fh,
hplusag,
extracon,
massage,
pénétratio,
historique,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... ses appartements et quérir son médecin. Quand celui-ci arrive, elle a déjà retrouvé ses sens. L’homme de l’art lui tâte le crâne et déclare qu’il n’y a pas fracture. Qu’elle en sera quitte pour une bosse et un mal de tête, mais qu’il vaut mieux qu’elle reste quiète et évite de se déplacer trop rapidement. Si des nausées lui viennent, il faut le rappeler. La comtesse demande :
— Pourrait-on me raccompagner chez moi ? Je ne voudrais point vous gêner en votre privé.
— Que nenni, le médecin a défendu que vous vous leviez trop rapidement. Il est hors de question que vous partiez. Il ne faut prendre aucun risque.
— Votre Altesse est trop bonne.
— Cela est naturel. Reposez-vous
Le prince s’éloigne et Jennifer ne tarde pas à s’endormir. L’après-midi est déjà bien avancé quand elle s’éveille. Moins d’une minute plus tard, le Duc apparaît suivi d’un domestique apportant une collation : comme elle va pour se lever, le Duc l’arrête :
— Restez allongée.
— Je ne puis encombrer davantage, Votre Altesse.
— Restaurez-vous d’abord et dites-moi comment vous allez et si votre tête ne vous fait pas souffrir.
— Je me sens fort bien. Je remercie Votre Altesse de son hospitalité.
— Je serais enchanté que vous en usiez encore.
Le valet se retire, ayant fini de servir le plateau garni dont le potage embaume. Jennifer se sent brusquement un appétit d’ogre et dévore gaillardement l’en-cas. Le Duc la regarde manger en souriant et lui demande :
— Désirez-vous que je fasse venir ...
... autre chose, vous avez l’air affamé.
La comtesse se rend compte qu’elle s’est conduite de manière un peu cavalière à se précipiter ainsi sur la nourriture :
— Ce ne sera pas nécessaire. Je remercie Votre Altesse.
Le valet vient desservir. Elle se sent un peu oppressée et son souffle devient court. Aimablement le Duc demande :
— Vous avez du mal à respirer. Voulez que soit desserré votre corps à baleines.
— J’en serais fort aise.
— Je suis impardonnable, j’aurais dû penser à ce que l’on le fit plus tôt. Veuillez vous redresser.
La comtesse obéit. Le prince se penche, elle sent ses doigts sur sa nuque et il commence à déboutonner son corsage. Elle est saisie, car elle pensait qu’il allait appeler une chambrière pour ce faire. Elle ne sait quelle attitude adopter. Elle ne veut froisser le Duc par des démènements qui seraient peut-être jugés malséants. Elle laisse faire, mais ne peut s’empêcher de frissonner brièvement quand il fait glisser le tissu de ses épaules et s’attaque aux nœuds du corset. Les lacets sont dénoués les uns après les autres, le vêtement tombe, la laissant buste découvert.
— Voilà qui est fait, vous pouvez vous rallonger. Respirez-vous mieux ?
— Beaucoup mieux. Je remercie Votre Altesse.
Elle se rallonge en serrant ses bras contre sa poitrine. Elle voudrait que le Duc se retire et remettre son corsage, mais n’ose lui demander, d’autant que celui-ci enchaîne. :
— Détendez-vous, chère comtesse, je vous sens toute contractée. Respirez ...