1. Le jeu commence


    Datte: 09/04/2021, Catégories: fh, extracon, hotel, nopéné, Auteur: Irving, Source: Revebebe

    ... vieux beau, trop vieux, plus assez beau. Il me salue vaguement et s’accote à mon amie. La main sur ses reins, la bouche à son oreille. La musique et le bruit, je n’entends rien, je n’existe plus. Alors je le regarde, lui :
    
    — Il a un regard inquiétant, ton ami.
    
    Le message est passé, il décroche. Pour autant la soirée ne s’améliore pas. Je propose à ma cavalière de rejoindre des amis en ville, elle s’empresse d’accepter.
    
    Dans le calme de la voiture qui nous ramène sous la pluie, elle dérive tranquillement la discussion vers ses fantasmes. Son goût pour la littérature érotique et les jeux de soumission, son admiration des pin-ups des années 50, son plaisir à porter un corset… C’est la première fois qu’elle aborde directement ce thème et même pour un incrédule de mon calibre, le message est clair. Notre chauffeur semble particulièrement attentif mais à son grand désespoir nous restons chastes.
    
    De retour en ville, je profite de son parapluie pour me rapprocher et la prendre par la taille. Elle connaît mal la ville mais se rend compte assez vite que je ne la guide pas vers le centre.
    
    — Tu m’emmènes où ?
    
    Elle n’obtient pas de réponse, n’insiste pas. Elle retire ma main de sa taille, me fait tenir son parapluie et pose la sienne sur mon bras. Elle n’est plus captive, elle est soumise.
    
    Le hall de l’hôtel, les deux étages, la moquette du couloir, le numéro de la porte… je me raccroche à ces détails pour essayer de rendre la situation moins irréelle. Je fouille ...
    ... dans ma poche à quelques pas de la porte de ma chambre pour en sortir la carte d’entrée et ne pas marquer de pause de peur de rompre le charme. Le seuil franchi, j’ôte mon manteau, lui retire le sien. Puisque nous sommes là pour jouer, je la regarde et lui demande :
    
    — Quelles sont tes règles ?
    — Ce soir, on ne va pas jusqu’au bout.
    
    Debout dans l’étroit couloir de cette chambre anonyme, je m’approche, l’enlace. Elle recule dos au mur, répond à mes caresses et ses doigts fuselés chatouillent ma nuque. Mes lèvres effleurent son cou et enfin, doucement, je l’embrasse. Elle répond à mon baiser, me serre dans ses bras. Mes mains courent le long de ses flancs, glissent sous son chemisier dans le creux de ses reins. Sa peau est de la douceur satinée dont je rêvais. Ses baisers délicats deviennent voraces, sa bouche pulpeuse se fait goulue. Je pense au moment où elle se refermera sur mon gland et commence à bander ferme. Je n’ose faire le geste trivial de recentrer ma bite partie sur le côté et la laisse douloureuse, pressée entre nos deux cuisses.
    
    Une de mes mains quitte ses reins pour effleurer ses fesses sous son jeans, l’autre part sous sa veste empaumer son sein au travers de son chemisier. Je remonte une de mes cuisses pour l’appuyer contre sa chatte ce qui lui arrache un hoquet. Sa respiration s’accélère, elle ondule sur ma cuisse, ses baisers s’accompagnent de gémissements… et elle me dit « stop ».
    
    Je la regarde, m’écarte, lève les mains et l’évalue du regard. Elle ...