Telle est prise qui voulait prendre - Histoires de Sexe

Telle est prise qui voulait prendre

... couilles qu’elle lâche enfin pour libérer ses deux mains. Telle une maîtresse femme, elle fait un tour mort sans nœud en serrant fort, puis elle passe un côté du bas autour d’un testicule du centre vers l’extérieur et l’autre bout du bas de façon similaire autour de l’autre testicule. Line remonte le tout et ramène les deux extrémités du bas sur le dessus du pénis, fait un nœud bien serré puis une rosette. Les ouvertures de la boucle sont deux poignées pour les mains de Line qui ne se gêne pas de tirer le tout vers elle.

— Quel beau paquet cadeau j’ai fait, montre à Maryse pour qu’elle admire mon œuvre.

Je me relève et présente ma queue à Maryse qui ne désapprouve pas. Ne seraient-elles pas de connivence ? Avec les femmes on peut s’attendre à tout !

Mon sexe n’a jamais aussi bien porté ce nom de « service trois pièces », avec une verge bandée au maximum, les vaisseaux sanguins sont tellement gonflés que l’on peut compter les veines. Mes couilles sont séparées bien remontées de chaque côté du pénis. C’est bon et douloureux à la fois ; je ne regrette pas le sans-gêne de Line.

— Michel, tu vas te mettre à quatre pattes, bras et jambes écartés au maximum et tu nous serviras de table basse, pendant que nous boirons le thé avec Maryse. Es-tu d’accord, dit-elle en tirant d’un coup sec sur les boucles du bas qui servent de poignées ?
— Ai-je le choix ?
— Je ne crois pas, ne suis-je pas l’invitée ? D’ailleurs, auparavant, pour que Maryse participe à notre petit jeu, tu ...

... vas détacher l’autre bas qui sera un jouet pour Maryse.

Je m’exécute, passant la main sous sa jupe sans la remonter. Je parcours sa cuisse jusqu’aux jarretelles. Heureusement la jupe est large, mais les jarretelles sont courtes et, malgré une certaine retenue, ma main effleure sa culotte, touchant même quelques poils qui dépassent.

— C’est qu’il me caresse ce petit cochon, fit elle en feignant d’être offusquée !
— Non ! je ne veux pas, mais c’est difficile avec une seule main.
— Tu n’as jamais déshabillé Maryse ? Ne me dis pas qu’elle met des collants, ce n’est pas de notre génération et personnellement je trouve cela anti-érotique.
— Moi aussi dis-je.
— Alors petit inconvenant, défait l’autre, sans me caresser le cul si tu veux bien !

J’ai enfin récupéré l’objet de convoitise que je donne à Line. Elle attache le pied du bas autour de mes couilles et tend l’autre extrémité à Maryse en passant sous mon ventre. Elles peuvent ainsi alternativement ou en commun me secouer les couilles pour me branler, simplement en tirant alternativement vers elles.

— Tu vas maintenant prendre ta place de table de service, ton tee-shirt est notre nappe et ton cul offert sera notre spectacle télévisuel ou notre jouet de femmes couguars et nous ne voulons pas t’entendre te plaindre, c’est compris ?
— Oui !

J’ai conservé cette position sans bouger durant près de deux heures, écoutant leurs conversations de femmes, parfois anodines, souvent érotiques. Lorsque ma queue débandait, je ...