Telle est prise qui voulait prendre - Histoires de Sexe

Telle est prise qui voulait prendre

... embase large que vous tenez, pour éviter qu’il soit aspiré totalement dans le rectum.
— Super ! Et c’est confortable ce gadget dans le cul ?
— Oui, je peux le garder des heures sans problème. Je l’enduis au préalable de lait hydratant végétal pour la peau, cela lui donne un côté douceur et excitant dans l’anus.
— Sans désagrément ?
— Parfois cela me donne envie d’aller à la selle. Dans ce cas, je le retire, j’évacue le colon et je le remets sans même m’essuyer le cul pour conserver la lubrification de l’anus.
— Et toi ma chérie, quel rôle joues-tu là-dedans ?
— Je regarde, j’admire, je fantasme. C’est souvent moi qui introduis le gode que je lui ai offert pour son anniversaire et je le retire lorsqu’il me quitte, son travail terminé.
— Et tu en profites aussi personnellement de cet objet de plaisir ?
— Non, il est trop gros, d’ailleurs j’en ai un que Michel m’a offert en juin dernier pour mon anniversaire, il mesure 4 cm de diamètre.
— C’est pour le vagin ? vibrant peut-être ?
— Non, pour l’anus, il me plait beaucoup et il est transparent.
— Montre-moi, s’il-te-plait ?

Sentant le terrain devenir scabreux, Maryse détourne le sujet en changeant de conversation.

— Pas aujourd’hui Line, une prochaine fois peut-être… pas tout le même jour.
— Tu as raison ma chérie.

∞∞∞∞∞

Nous sommes maintenant installés au salon. Maryse et Line se font face et de mon côté, toujours nu en tee-shirt, je prépare le thé et le café accompagnés de petits gâteaux secs que je ...

... dispose sur une assiette de porcelaine blanche de Limoges. J’apporte un plateau que je pose sur la table basse et prends l’assiette que je présente à mes dames. D’un geste de la main, voulu ou par mégarde, Line heurte l’assiette et voilà tous les gâteaux répandus au sol.

— Oh ! que je suis maladroite, heureusement que l’assiette n’est pas tombée !

Je suis persuadé que Line l’a fait exprès pour que je m’accroupisse, ce que je fais pour ramasser les friandises, d’ailleurs ses paroles qui s’ensuivent en témoignent :

— Non ! Michel, pas comme cela. Tu te baisses jambes écartées s’il-te-plait, les fesses dans ma direction pour que je te regarde.

Je m’exécute, imaginant de suite le spectacle que j’offre au regard de cette femme, mais je ne dois pas refuser, alors je me baisse, cul en l’air en direction de Line.

— Quel beau spectacle tu m’offres là, il y a longtemps que je n’en ai pas vu de tel ! Quelle belle paire de couilles me dit-elle en les attrapant et en les pressant fortement.

Le résultat ne se fait pas attendre. L’érection que j’ai contrôlée tant bien que mal jusque-là me trahit et je ne peux plus la cacher au regard de Line qui m’excite encore plus par ces paroles. Je jette un regard vers Maryse qui d’un clin d’œil semble approuver en me faisant comprendre d’accepter sans rien dire.

Line, de sa main libre remonte sa jupe, dégrafe les jarretelles d’un bas, le roule sur sa jambe et le retire. La pièce de lingerie en main, elle entoure mon pénis, derrière les ...