1. Vengeance sur la Côte d'Opale


    Datte: 09/04/2021, Catégories: fffh, jeunes, plage, collection, intermast, init, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    ... Ah bon, ce n’est pas assez ?
    — Si, dans un sens, c’est bien. Mais, si tu voulais, on pourrait vraiment vivre un moment extraordinaire.
    — Dis-moi ce que je dois faire.
    — Toi, tu n’as rien à faire, juste te mettre sur le dos les yeux fermés. Avec ce bandeau.
    — Un bandeau ?
    — Oui, comme dans le film.
    — Ah oui ! Bon d’accord.
    
    Elle m’affubla donc de ce bandeau. Et elle s’activa sur tout mon corps, en terminant par ma verge qui n’en pouvait plus, tant elle était tendue. Je ne comprenais pas toujours ce qu’elle faisait. À un moment donné, j’eus l’impression qu’elle se levait, qu’elle quittait même la cabine. Mais je ne m’inquiétais pas trop. Le romantisme a ses exigences, me disais-je. Pourtant il me semblait que la cabine craquait de toutes parts. Elle me rassura en s’occupant plus spécialement encore de mon érection, avec une main douce et ferme à la fois. Je voulais lui dire que j’allais inévitablement éjaculer si elle continuait. Mais je pensais qu’ainsi il n’y aurait pas de risque de grossesse et je me laissais faire.
    
    Dans un râle de mâle, je répandis ma semence sur mon ventre. Et jaillit une salve d’applaudissements ! J’enlevai le foutu bandeau qui m’avait fait bander et je vis autour de moi toutes les copines de Sylvie. Elle-même s’était rhabillée d’ailleurs. J’étais donc là, nu et couvert de sperme devant huit filles qui riaient éperdument. Heureusement qu’à l’époque, il n’y avait pas de téléphone portable pour immortaliser la scène. Mais bien sûr, dès le ...
    ... lendemain, je serais la risée de tout le lycée. Sylvie prit la parole au nom du groupe :
    
    — Vous, les garçons, vous vous amusez à nous voir nues à travers des trous ou sous des escaliers. Vous sortez avec nous, rien que pour permettre aux autres d’être des voyeurs. Nous, les filles, nous sommes beaucoup plus claires. Il n’y a rien de malsain dans nos têtes. Nous avions la curiosité de voir calmement une belle éjaculation. Le temps que cela met à se faire, la raideur de la pine, la couleur du gland, la texture du sperme, les soubresauts de la queue, l’odeur que ça dégage. On a rarement l’occasion de s’instruire, manuellement je veux dire. Alors, dis-toi bien que c’est pour toutes les fois que toi et tes potes, vous vous êtes foutus de notre gueule. Et, en plus, j’ai appris que toi, particulièrement, tu nous attribuais des notes. Il paraît que j’ai juste la moyenne pour mon cul. Je te remercie. Ah, au fait, nous avons caché tes vêtements sous une autre cabine. Au revoir !
    
    Les salopes ! Je rampai dans la nuit sous les cabines, le sable se collait à mon ventre trempé de liqueur séminale. Je les insultais en hurlant toutes les cinq secondes. Au moment où je mettais enfin la main sur mes affaires, un chien me renifla le cul et son maître me traita de dépravé. Je courus me nettoyer dans la mer et je m’habillai comme je pouvais, à moitié humide et tremblant de rage et de froid. Je rentrai chez moi et mes parents avaient reçu dans la journée un mot du proviseur se plaignant de mes ...