1. [Sci-Fi] L'évolution de la race humaine (48)


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Divers, Auteur: SexFlag, Source: Xstory

    ... sœur Agnès.
    
    Cette dernière obtempéra et me rejoignit. Nous contemplâmes la mère du couvent avec convoitise.
    
    – Qu’allez-vous faire de moi, demanda-t-elle, apeurée.
    
    – Ce que vous voulez, dis-je en souriant. Nous pouvons soit arrêter, soit continuer ... C’est vous qui choisissez.
    
    Sœur Agnès me lança un regard sceptique. Elle avait peur que la mère nous demande de partir. Seulement moi, je n’avais aucun doute.
    
    Mère Aliénor hésita pendant de longues secondes. Ses jambes gigotaient frénétiquement et ses doigts se trituraient les uns les autres. Elle transpirait d’envie, cela se ressentait.
    
    – Je ... hésita-t-elle et nous regardant à tour de rôle. Je ne sais pas ... je peux ... vous pouvez peut-être ...
    
    – Oui ? Que désirez-vous, ma mère ?
    
    – Mmm ... On peut peut-être ... continuer ... ?
    
    Je souris victorieusement.
    
    Je me déplaçai juste devant son entrejambe et abaissai ma culotte. Malgré mon excitation, j’étais parvenue à contenir mon érection jusqu’à présent et c’est pourquoi mère Aliénor n’avait rien remarqué. Lorsqu’elle aperçut mon sexe lentement s’ériger, ses yeux s’agrandirent de terreur. Elle ne s’attendait certainement pas à cela.
    
    Je me penchai sur elle, mon imposante queue nonchalamment plaquée contre son con et vrillai mon regard au sien.
    
    – Es-tu ... le diable en personne ? Me demanda-t-elle en tremblant de tous ses membres, tant de peur que d’excitation.
    
    Je plaçai mon gland devant son entrée et lui répondis avec un sourire à glacer le ...
    ... sang :
    
    – Oh je suis bien pire que cela ...
    
    Et je m’enfonçai en elle.
    
    Elle hurla à s’en déchirer les cordes vocales. Sœur Agnès se mit à califourchon au-dessus de son visage et la fit taire avec son sexe trempé de désir.
    
    Elle était incroyablement serrée. Naturellement, avec une queue aussi grosse que la mienne, n’importe quel vagin pouvait paraître étroit cependant, celui-ci l’était particulièrement.
    
    – Oh, ma mère ! S’extasia sœur Agnès. Léchez-moi plus fort ! Oui, avec la langue ! Oui !
    
    J’étais vraiment étonnée d’entendre cela : je ne m’attendais pas à ce que la mère supérieure soit si réceptive sexuellement parlant. Elle, lécher un minou ? Je n’en croyais pas mes oreilles. Je débutai des allers retours qui firent se contorsionner Aliénor de plaisir. Elle s’agrippa aux cuisses de la religieuse à qui elle aspirait l’entrejambe avec tant d’enthousiasme tandis que son corps ondulait sous mes profondes incursions.
    
    Nous gémissions toutes les trois tellement le plaisir était intense. Enfin je baisais la mère du couvent ! C’était si bon !
    
    Mon sexe gonflé d’envie élargissait son intimité avec brusquerie et elle en demandait encore. J’ondulais lascivement sur son corps, me frottant à elle comme la petite dévergondée que j’étais. Chaque fois que je m’enfonçais voluptueusement dans ses tréfonds, elle écartait davantage le compas de ses jambes pour me permettre d’aller le plus loin possible. Elle était affamée. Pourtant, quelque chose la retenait. Peut-être l’idée ...
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