1. La surprise sous le sapin (2)


    Datte: 07/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Pygmalion, Source: Xstory

    ... griffes sur son torse et, enfiévrée par l’ardeur de ce joujou extraordinaire, j’ai commencé à lui mordre dans le cou. Il gémissait tellement que je me suis demandée si c’était de plaisir et de douleur mélangés, ce qui m’a fait accélérer la cadence de mon bassin. Tout son corps tremblait et se crispait, faisant monter son orgasme et surtout le mien. Une dernière bouchée de cet apollon le fit exploser et moi avec, répandant sa neige chaude en moi pour mon plus grand plaisir.
    
    Mais je n’en avais pas fini avec lui. Sur le lit j’ai attrapé mon fouet et l’ai passé derrière sa nuque. Il me regardait avec une lueur d’inquiétude mais aussi un peu d’excitation. Toujours attaché, je l’ai retourné puis intimé l’ordre de lever son fessier encore vierge. Après mes mains c’est mon fouet qui a caressé ses fesses, mordant ses cuisses et sa chute de rein. Ces nouveaux préliminaires le réjouissaient d’après l’érection qu’il avait retrouvée. Sa bite frétillait comme un poisson hors de l’eau mais pas de la petite friture, plutôt comme un saumon majestueux cherchant à regagner sa rivière. Après cette petite entrée, je suis passée au plat principal. Pendant que j’admirais cette dinde ficelée avec brio, j’enfilais rapidement de quoi la fourrer bien comme il faut. Un bon gode-ceinture noir et épais décorait ma croupe. Après avoir écarté celle, souple et attendrie par mes coups, de mon beau mâle, je salivais sur sa rosette et la massais avec un doigt pour la ...
    ... préparer comme il convenait. Je prenais bien soin de le faire aller et venir lentement pour prendre le temps d’écouter la musique de ses gémissements. Quand j’ai Jugé qu’il était prêt, je me suis introduite en lui en me délectant de chaque centimètre qui le remplissait et des râles aussi mignons qu’enthousiastes qu’il poussait. Je le pris avec fougue, tenant les liens qui attachaient ses mains comme une bride. Je chevauchais ce bel étalon que j’avais moi-même capturé. Je prenais mon pied dans ce rodéo sauvage, cravachant son derrière endolori comme une vraie cowgirl, je regrettais juste de ne pas avoir mes bottes à éperons. Il semblait aimer cette séance de punition parce qu’il en redemandait. Je me suis alors penchée pour glisser une de mes mains pour serrer son membre palpitant que je masturbais au rythme de mes assauts acharnés. Complètement asservi à ma volonté il me suppliait entre deux halètements de le faire jouir encore une fois. D’une exceptionnelle générosité pour ce jour de noël, je le laissais éjaculer et se répandre sur mes draps en soupirant d’un plaisir béat.
    
    Alors qu’il se rhabillait, je tentais de le convaincre de rester mais il me dit qu’il était descendu chez moi par erreur. Comme je ne pouvais prendre son cœur, à défaut d’avoir pris son cul, je l’ai remis sur le palier et il s’en alla par la cheminée.
    
    C’était le fils du Père Noël, j’étais la fille du Père Fouettard, il s’appelait Henri Noël, je m’appelais Jeanne Balthazar. 
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