1. Aventure...


    Datte: 07/04/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, grossexe, piscine, Oral pénétratio, couple+h, cocucont, Auteur: Jules de chez Smith, Source: Revebebe

    ... voyeurisme simultanés que nous vivions qui l’excitait tellement ? Toujours est-il que sa réaction fut très communicative et que mon érection se tendit encore au point que j’en avais mal. Les deux amants joignirent alors leurs mains et se tirèrent l’un contre l’autre, jusqu’à ce que leurs entrejambes se rejoignent, preuve évidente que François était parfaitement en elle !
    
    — C’est complètement fou, jamais je me suis senti si bien avec une femme, j’ai l’impression de vraiment te pénétrer profondément. Tu es chaude, accueillante comme jamais je ne l’ai vécu, vous êtes vraiment merveilleux !
    — Ce n’est pas une impression, tu me pénètres vraiment très loin !
    
    Puis se tournant vers moi, elle rajouta :
    
    — Je ne souhaite pas te vexer, mais jamais je n’ai eu l’impression d’être pareillement remplie !
    
    Puis pour s’excuser sans doute de paroles qu’elle croyait blessantes (elles ne l’étaient aucunement, tout au plaisir que j’avais de participer… à leur plaisir !) elle m’attira et prit mon sexe archi tendu en bouche. Et tout en étant merveilleusement pénétrée, elle s’appliqua à me sucer comme jamais, m’absorbant parfois jusqu’au fond de sa gorge, voulant m’offrir une cavité aussi profonde que celle qu’elle ne pouvait me donner en cet instant, pendant que ses mains me caressaient les bourses, remontant parfois sur mes fesses pour venir s’égarer vers mon anus ou empoignant ma hampe qu’elle compressait et secouait comme si elle souhaitait la vider jusqu’à la dernière goutte.
    
    Et ...
    ... puis, ils jouirent tous les deux. Je les suivis immédiatement. Malgré des râles à la hauteur de sa jouissance, elle prit soin de me boire complètement, ne laissant perdre aucune goutte. Secouée encore des derniers spasmes de plaisir, elle se laissa alors aller à commenter ce qu’elle venait de vivre :
    
    — Ah, François, ta queue dans ma chatte, j’avais l’impression d’un ballon énorme qui plaquait contre ma vulve et qu’on n’arrêtait pas de vouloir gonfler encore, et puis, quand tu as joui, cette quantité de sperme, c’était chaud, c’était bon, j’avais l’impression que jamais je ne pourrais tout accueillir…
    
    Après quelques instants de répit, nous inversâmes les rôles : je m’allongeai sur le lit, ma femme prit la position qu’elle avait cet après midi avec François, à califourchon sur moi. Nous pouvions ainsi lui montrer le spectacle de sa chatte pénétrée par ma verge et, lui s’étant approché du lit, elle pouvait lui prodiguer de délicieuses caresses buccales.
    
    Pour ma part, dans un premier temps, je me sentais comme perdu dans ce sexe trop dilaté pour moi… mais cette dilatation eut vite un avantage, elle me permettait d’aller très loin, buttant fortement contre le col de l’utérus de mon épouse qui me le fit très vite remarquer :
    
    — Ah, chéri, comme tu vas loin, tu vas me perforer ! Jamais je ne t’ai senti si profondément en moi. Si tu persistes, je vais finir clouée sur ton sexe !
    
    Et puis très vite, sa musculature parfaite aidant, j’ai retrouvé le contact de ses muqueuses ...
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