1. Aventure...


    Datte: 07/04/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, grossexe, piscine, Oral pénétratio, couple+h, cocucont, Auteur: Jules de chez Smith, Source: Revebebe

    ... lié, très beaux. Je sais que ma femme a un tempérament très chaud et qu’il serait prétentieux de ma part de prétendre pouvoir la combler complètement. Je ne vois dans ce qui s’est passé aujourd’hui aucune « tromperie » de sa part et, quelque part, j’ai même de quoi être fier : si elle peut faire chavirer la tête (et le reste…) d’un autre homme, c’est que mon choix est assurément le bon quant à ses qualités et capacités ! De plus, la connaissant, je suis persuadé qu’il n’y a aucun calcul derrière ce geste et qu’elle n’a agi que par pure générosité, sans intérêt aucun.
    
    Ils entreprirent alors de me raconter conjointement la genèse de cette aventure.
    
    Après un repas léger, ma femme lui proposa effectivement de « piquer une tête » dans la piscine. Malheureusement notre ami, n’ayant que le strict minimum d’affaires personnelles, n’avait pas de costume de bain. Ma femme lui proposa alors de lui prêter un des miens, il lui répondit qu’assurément ils ne lui iraient pas (au souvenir de son sexe gigantesque, j’imaginais pourquoi). Sans se troubler aucunement, mon épouse se mit dans le plus simple appareil et plongea dans l’eau.
    
    Notre ami n’eut d’autre choix que… de faire de même ! Il se dévêtit donc, dévoilant alors un sexe étonnant : il n’était pas très long : huit, neuf centimètres, tout au plus, mais avec, au repos, un diamètre déjà impressionnant de cinq à six centimètres. Ces proportions très particulières lui donnaient l’aspect d’un gourdin, d’une masse.
    
    Dans l’eau ils ...
    ... s’amusèrent comme des enfants, se bousculant, se passant sous l’eau, se poussant, s’étreignant parfois à bras le corps pour se tirer au fond, tout ceci dans le respect mutuel de l’autre, dans une attitude fort chaste, sans aucune tentative de dérive sur un plan sexuel.
    
    Puis ma femme sortit et lui proposa un rafraîchissement. Il lui répondit que s’il n’avait eu aucun problème pour la suivre dans l’eau dans cette tenue, il se trouvait maintenant bien emprunté pour se présenter à elle : le contact de sa peau nue lors de leurs joutes aquatiques ainsi que le spectacle sublime qu’elle lui offrait maintenant (il n’avait guère eu le loisir de l’observer avant qu’elle plonge dans l’eau car tout ceci s’était passé si rapidement) le mettaient dans des conditions non présentables devant une femme.
    
    Elle lui répondit du « tac au tac » que bien au contraire, si sa condition était bien celle qu’elle imaginait, c’était assurément le plus bel éloge qu’un homme pouvait faire à une femme, sans aucune possibilité de mensonge, de dissimulation ou de tromperie : des sentiments mis à nus, dans le sens littéral du terme.
    
    Il sortit donc de l’eau, le sexe en érection. Et là ma femme resta étonnée : si son sexe s’était encore dilaté et devait atteindre les huit à neuf centimètres de diamètre, il ne s’était pratiquement pas allongé, donnant ainsi avec son gland violacé plus l’impression d’un gros poing de boxeur qu’un organe génital masculin ! Devant sa mine étonnée, il ne fut pas surpris :
    
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