1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1106)


    Datte: 07/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... !
    
    J’étais heureuse par ces mots pour celles qui étaient en train de jouir et les cris d’orgasme n’avaient rien d’inquiétant... Roger, nous fit entrer dans une pièce sombre, voûtée, très peu éclairée. Pas de fenêtre comme dans l’autre cachot. Au sol, de la terre battue, et aux murs, des crochets, des anneaux…des barres d’espacements… Les murs en pierre, suintaient, et entretenaient une humidité glaçante… Roger m’attrapa par les cheveux et me tira en un endroit, me fit me tourner vers lui et reculer vers le mur…
    
    - Monte là-dessus et accroupis-toi, ordonna Roger !
    
    - Là-dessus ?, dis-je !
    
    Comme réponse, ses ongles s’enfoncèrent profondément dans mon téton droit qu’il étirait vers le bas, tandis que j’étais juchée sur une sorte de tapis recouvert de petites pointes, assez apparentes pour me blesser orteils et voûte plantaire. Tandis que je tentais vainement de placer mes orteils entre les pointes, Roger tenant mon téton, me fit m’accroupir en me tirant vers le bas ! Derrière moi, au mur, un anneau duquel partaient deux chaînes qui furent reliées à mes chevilles par des bracelets, et une barre métallique qui pendait avec en son bout, un autre collier de métal que Roger fixa autour de mon cou. Sur cette barre, coulissait un système d’attache, emprisonnant mes bras, tirés fortement en arrière de mon dos. Dans cette pose, je ne pouvais absolument pas allonger mes jambes, ni reculer m’adossant au mur pour me soulager de cette inconfortable position si exposée, coincée par ...
    ... la barre qui me tenait au cou, et en plus mon corps posé sur ces petites pointes sous mes pieds… J’étais ainsi offerte, cuisses, hanches et seins très accessibles. Ce fut au tour de Mélanie d’être installée. J’enviais sa pose, attachée par le cou comme moi à une barre, accrochée elle à un anneau fiché dans le mur, bras très resserrés en arrière du dos, mais à genoux...
    
    Comme moi, elle ne pouvait pas se lever, mais au moins, elle pouvait allonger tantôt une jambe, tantôt l’autre. Puis Roger prit sa cravache et commença par Mélanie, la rouant de coups, ajoutant à ce qu’elle avait déjà reçu. Elle criait terriblement de douleur mais elle semblait exprimer du plaisir dans ses plaintes car à chaque coup, elle semblait aussi plus excitée, visiblement son masochisme jouissif s’exprimait d’une façon fulgurante. De mon côté, les pointes me faisaient souffrir de plus en plus ! Je voyais Mélanie exténuée, elle transpirait, jouissait fortement et rapidement à l’évidence tout en pleurant beaucoup. Quel incroyable contraste, ce mélange fou de la douleur et du plaisir et je comprenais un peu mieux pourquoi elle me disait était si épanouie… Roger se tourna vers moi et se recula, leva son bras et l’abattit sur mon sein gauche, avec une telle force que bien qu’avertie, j’en eus le souffle coupé. Alors que le deuxième coup arrivait sur l’autre sein, je poussais un cri si strident, si puissant, que d’autres hommes, dans d’autres cachots hurlèrent :
    
    - La ferme, la nouvelle !
    
    La valse de la ...