1. Faible Christine


    Datte: 06/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Accent, Source: Hds

    ... c'est fini.
    
    - Je l'ai vu partir en bas. Nous aurions dû aller tout de suite à la fenêtre. Tu as ri hier en le voyant marcher. Et après tu as permis. C'est pareil il est loin. On peut se faire du bien, sans risques.
    
    Georges est toujours collé dans le dos de ma femme. Je crois voir qu'il presse sa cuisse gauche contre la hanche et la fesse féminines. C'est un jeune chien qui s'excite contre sa femelle. Christine est-elle insensible au frottement ou y est-elle assez habituée pour ne pas le relever, avant d'expliquer ma disparition du champ de vision :
    
    - Jean est ponctuel. Un retard au travail le matin est pour lui une faute. Cesse de te frotter, tu t'excites en vain .
    
    La position des deux corps dépasse ce que permettent généralement les convenances. L'immobilité dans laquelle ils se complaisent malgré les protestations de ma femme favorise mon entrée. Je repousse doucement la porte. Le trousseau de clés écrasé dans ma main ne trahit pas le mouvement. Je passe de l'autre côté de la double porte du séjour,à l'abri des regards, qui ne me cherchent plus. Georges et Christine se redressent, se tournent l'un vers l'autre. La voix de l'homme se veut rassurante:
    
    - Voilà, il est parti. S'il avait dû remonter, il serait déjà là. Je t'aime.
    
    - Tu crois? Bon, veux-tu me lâcher ? Enlève tes bras, tu me serres trop fort. J'aime garder ma liberté de mouvements.
    
    - Oh! C'est nouveau ça ! Les autres fois tu me réclames des étreintes plus étroites. Ne m'aimes-tu plus? Je ne te ...
    ... crois pas. C'était si bon. bisou. Mieux que ça.
    
    - Allons! Enfant. Qui te parle d'amour? Sois sage. Tu pleurais, je t'ai consolé. Tu vas mieux, tu n'as plus besoin de câlins.
    
    - Voilà le mot juste. Tu m'as couvert de câlins et découvert de ma chemise et de mon pantalon. Pourquoi se priver des meilleures choses de la vie? Ne sois pas bête, laisse tes préjugés bourgeois de côté. Viens, baisons, tu adores faire l'amour, j'en suis sûr.Tu n'en auras pas la chance tous les jours. Il ne fallait pas me séduire
    
    - Coquin! Tu as une façon particulière de raconter l'histoire. Il y a deux jours, quand je t'ai pris contre moi pour arrêter tes larmes, tu t'es jeté sur ma bouche et tu m'as embrassée sans vergogne. Tes mains ont moulé mes seins et les ont pressés
    
    - Dis-moi que ça t'a déplu ! Tu disais "arrête, arrête" et tu me mordais les lèvres, tu poussais ton ventre contre le mien. Tu provoquais la fusion de nos corps
    
    - Menteur ! Ton imagination te joue des tours. Souviens-toi. Tu m'as fait reculer en me poussant avec tout ton corps. Et tout à coup j'ai atterri sur le canapé à cause de ton excitation.
    
    - Qu'importe qui a commencé. As-tu appelé au secours lorsque mes mains ont remonté de tes genoux jusqu à l'ourlet de ta culotte ? Si je me souviens bien, tes cuisses ne les ont pas serrées pour empêcher leur progression. De même tu m'as laissé faire la suite. Tu geignais, tu répétais "arrête" mais tu frémissais déjà de désir. J'ai écarté ta culotte, ma main l'a poussée dans le ...