1. Chaudes retrouvailles


    Datte: 06/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Micky, Source: Hds

    ... sexe. Karine trempait de sa vulve en fusion les doigts de Kleber dont la queue avait bris le volume d'un bras d'enfant. Tout en se paluchant, ils s'excitaient mutuellement par le verbe :
    
    - Ta bite est magnifique, je sens que tu vas bien me remplir.
    
    - Elle n'attend que ta chatte depuis deux mois. Je vais te la mettre jusqu'aux couilles.
    
    - Doucement, pas trop vite, je veux que tu dures un peu. Je suis en manque.
    
    - Je vois ça, mes doigts entre comme dans du beurre. Fondu.
    
    - Tu veux que je te suces un peu ? J'ai besoin de ton gland dans ma bouche.
    
    - Vas y, mais doucement hein, ne me fais pas gicler trop tôt.
    
    - Juste un petit coup de langue, mmmmh, c'est bon.
    
    - Tu es la reine de la pipe. Oh là là, arrête, je vais tout lâcher. Laisse-moi te lécher un peu, c'est ça, couche toi, laisse toi faire.
    
    - Ohhh, qu'elle est bonne ta langue, j'aime te regarder me lécher, ouuhh, mmmhhh, j'adore ça, ohhh, ta bite maintenant, ta bite, j'en peux plus...
    
    Et Kleber se positionna, mains posées sur le lit après avoir glissé ses bras dans le creux des genoux de Karine, laquelle, très souple, se prit les pieds à pleines mains pour s'ouvrir encore plus. Et Kléber, enfin, la pénétra. Ce qui suivit démentit l'opinion commune selon laquelle seuls les hommes sont l'objet de fortes pulsions érotiques auxquelles les femmes se soumettent, bon gré mal gré. Karine n'était plus qu'un sexe, le sien. Kléber eut l'impression d'entrer dans le cratère d'un volcan en fusion. Non ...
    ... seulement elle s'efforçait de lui témoigner son enthousiasme en lui renvoyant la balle à grands coups de cul mais elle délivrait un mélange verbal d'encouragements, de célébrations, d'onomatopées, parfois même de propos vulgaires étonnants dans une bouche aussi distinguée d'architecte d'intérieur. Subjugué par tant d'ardeur, Kléber lui prodiguait alternativement une fouille lente et rotative puis une rafale de coups de bite qui la mettait au bord de la syncope. Pendant qu'il la besognait avec science, elle avait glissé une main pour lui attraper les couilles et il se sentait ainsi sommé de poursuivre son forage, d'autant qu'elle l'adjurait de ne pas s'interrompre. Puis ils se placèrent sur le flanc, elle une jambe haut levée, lui activant son puissant appendice pénien pointant comme une corne en la regardant au fond des yeux pour mesurer le plaisir qu'il lui offrait. Tout l'être de Karine était centré sur l'organe viril qui la fouaillait inlassablement. Elle n'était plus qu'une femelle en chaleur en train de baiser non avec son mari mais avec un amant résumé à sa bite, mot qu'elle prononça plusieurs fois en venant à sa rencontre.
    
    Au bord de l'éjaculation, il parvint cependant à se retirer en se comprimant la hampe, grimaçant de douleur, et elle l'embrassa en le remerciant d'avoir su conserver encore de la raideur.
    
    - Laisse moi venir sur toi maintenant, j'ai encore envie de te voir, lui dit-elle.
    
    Elle s'empala sur son mari en le regardant droit dans les yeux et fit aller et ...