1. Les routiers sont sympas (5)


    Datte: 05/04/2021, Catégories: Hétéro Auteur: petikokin, Source: Xstory

    ... fait comprendre que l’on peut le remplir de liquides chauds pour des sensations plus réalistes.
    
    Enfin, il me déplie une feuille de papier. C’est le mode d’emploi. Les explications sont imprimées en allemand. Les nombreux dessins sont assez explicites pour faire une bonne utilisation de ce sexe en caoutchouc. Muni de mon paquet, je vais rejoindre Christine qui, de son côté, fait emballer ses achats.
    
    Après avoir payé, les vendeurs nous offrent deux revues à chacun.
    
    Nous rejoignons le camion. Nous feuilletons les deux « magazines » offerts. Ce sont des photos pornographiques imprimées sur une dizaine de pages...
    
    Je mets en marche... et nous roulons vers la France. Nous traversons la Belgique.
    
    En fin de journée, nous arrivons au poste-frontière Franco-belge de Menin. Nous devons attendre le lendemain pour« dédouaner » la marchandise et poursuivre notre voyage. Je trouve une place sur le parking, un peu à l’écart des autres camions.
    
    Une « cafétéria », ouverte vingt-quatre heures sur vingt-quatre, nous permet de nous restaurer. Nous avons la possibilité de faire notre toilette.
    
    Nous nous préparons pour passer la nuit dans la cabine. Chacun se déshabille. En slip et petite culotte, nous nous allongeons sur la couchette. Bras dans les bras, nous nous embrassons et nous caressons voluptueusement. L’ivresse de la jouissance monte dans nos corps.
    
    Je propose à Christine de feuilleter nos revues « porno » et de choisir une position. Ces photos libidineuses ne ...
    ... font qu’exacerber nos sens. L’exiguïté de la cabine limite nos ébats. Nous trouvons que la position du « soixante-neuf » est la plus confortable.
    
    Tels des dépravés, nous caressons, nous léchons, nous suçons, tout ce qui est à la portée de nos mains, de nos bouches.
    
    Christine, prise dans un violent orgasme, part en « vol plané » quelques secondes. Je me retiens d’éjaculer.
    
    En attendant qu’elle retrouve ses facultés, je change de position pour l’enjamber et me retrouver, un genou de chaque côté de son torse, face à elle.
    
    Elle ouvre les yeux, constate que mon pénis n’est qu’à quelques centimètres de sa bouche. Elle en prend le gland entre ses lèvres pour le « chatouiller » du bout de la langue. D’une main, elle prend ma verge et la masturbe doucement.
    
    Un tel « traitement » fait monter la pression dans mes testicules. Je suis prêt à « exploser ». Je le fais comprendre à ma « branleuse » et veux me retirer pour ne pas « gicler » sur sa figure. Elle me retient, me fait « non » de la tête.
    
    Telle une « dératée », elle accélère ses va, et vient sur ma tige.
    
    Ne pouvant pas me retenir, je me vide en longues giclées tièdes sur sa figure, son cou, entre ses seins.
    
    Bouche ouverte, langue tirée, elle en prend un peu, elle avale...
    
    Le calme revenu, le sperme essuyé, allongés l’un contre l’autre, elle me dit :
    
    — Encore une fois, quel plaisir !... Quelle jouissance !... Je suis épuisée, « vidée ». ...
    
    — Tu ne pensais pas avoir autant de plaisir ....
    
    — À chaque ...