1. Echec et mate


    Datte: 04/04/2021, Catégories: fhh, fhhh, grp, extracon, extraoffre, Collègues / Travail grossexe, poilu(e)s, vacances, piscine, campagne, collection, fdomine, vengeance, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme rasage, Oral 69, double, Partouze / Groupe fdanus, échange, Humour Auteur: Philou1, Source: Revebebe

    ... mettre sur le dos ?
    
    Je sortis plusieurs tenues qui n’eurent pas l’heur de plaire à mon compagnon de débauche. À la fin, je lui demandai comment il voulait me voir habillée. Il fit son choix dans ma garde-robe après avoir amoureusement tenu dans ses mains des chemisiers, des minijupes, ses sous-vêtements et même des hauts talons.
    
    Finalement son choix s’arrêta sur un chemisier parfaitement transparent, sur une mini qui se révélait plus courte encore que ma jupette de tennis et sur un tout petit string rouge transparent au possible. Je devrais porter le tout avec une paire de souliers à talons aiguille d’une quinzaine de centimètres de hauteur. Ça me donnerait, selon Phil, une cambrure assez exceptionnelle.
    
    Je n’étais pas encore habillée, et il me fit remarquer que la touffe de poils qui ornait mon sexe était bien mignonne.
    
    — Viens donc me la raser. Comme cela je serai entièrement glabre pour toi.
    — Comment sais-tu que c’est mon fantasme ?
    — Laurent me l’a déjà dit. Tu vois, à toi il te parle de moi. Eh bien, à moi, c’est de toi qu’il parle.
    
    En fait, la petite touffe de poils ras qui surmontait mes grandes lèvres je l’avais surtout pour Laurent. Il aimait m’embrasser là pour commencer. Pour lui, c’était la ligne de départ de tout cunnilingus.
    
    Il serait donc privé de ce point de repère pendant un certain temps !
    
    Philippe s’arma du rasoir de mon mari et se mit à officier. Moins d’une minute après, j’étais redevenue aussi velue qu’au jour de ma naissance. ...
    ... Pendant qu’il faisait office de barbier, je me lavais, et j’avoue que je fus satisfaite du résultat et plus encore du soin avec lequel il me passa du baume apaisant sur le minou.
    
    Je fus prise de pitié en le voyant tenter de remettre le slip de bain échancré que lui avait prêté Laurent.
    
    — Il y a deux armoires dans la chambre : celle où j’ai pris mes vêtements et l’autre qui est à Laurent. Prends donc un caleçon ou un boxer, tu y seras plus à ton aise.
    
    Après s’être changé, il revint vers moi, et reconnaissant, m’embrassa tendrement, faisant naître en moi une onde de désir.
    
    — Es-tu certain que le baume apaisant que tu m’as mis ne tache pas ? Je ne voudrais pas laisser de traces sur un string propre.
    — Eh bien, tu n’as qu’à pas en mettre, comme ça tu seras certaine de moi.
    — Arrête, idiot. Je suis certaine de toi, mais ça ne m’empêchera pas de ne pas en mettre, lui rétorquai-je tout de go.
    
    Nous retournâmes voir Laurent qui attendait, tout penaud.
    
    — Tu as une bien jolie maison, le complimenta Philippe, c’est une chose de la voir en photo et une autre que de pouvoir en profiter avec la maîtresse des lieux qui en est le joyau.
    
    « Et qui est aussi la tienne », pensai-je, heureuse et comblée.
    
    Les hommes s’assirent sur un canapé et moi je pris place, en face d’eux, dans un fauteuil profond qui me força à écarter les jambes. Je vis Laurent qui buvait un whisky, s’étrangler presque en constatant que mon minou était lisse comme le dos de ma main. Je lui fis un ...
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