1. La petite vengeance


    Datte: 03/04/2021, Catégories: ffh, fagée, frousses, vacances, intermast, Oral nopéné, fdanus, Humour québec, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... longtemps pour pouvoir me contenir, c’était décevant, mais aussi une vraie délivrance. Sa main délicate mais puissante heurtait mon gland et mon ventre bruyamment et mon sperme jaillissait à la puissance 10, m’aspergeant le torse et le ventre. L’orgasme était si puissant que j’allais probablement tatouer mes empreintes sur le beau derrière de la tante. Je jouissais dents serrées et le souffle coupé, mes jambes en tremblaient et mes petits orteils repliés craquaient.
    
    — Marie ! fit sa tante indignée, la voix enrouée sans doute par le plaisir très court qu’elle avait dû ressentir. Qu’est-ce que tu fais là ?
    
    Son anus expulsa mon doigt tout naturellement.
    
    J’entendis rire la grande rousse tandis qu’elle finissait de me faire éjaculer, ralentissant peu à peu son mouvement de va-et-vient. Je sentais mon sperme jaillir déjà moins fort et me remplir le nombril pour en déborder et s’écouler sur mes flancs tandis que l’orgasme diminuait.
    
    C’était quand même grisant de penser que cette femme-là était en train de me faire décharger.
    
    — C’est ma petite vengeance pour ce matin, dit-elle la voix plus profonde et granuleuse qu’à l’habitude.
    
    Me faire une pipe et me faire jouir avait dû tout de même l’exciter un petit peu, enfin je l’espérais. Un homme a sa petite fierté.
    
    — Ça vous apprendra à me jouer des petits tours toé deux ! rajouta-t-elle.
    
    Elle rit encore en pressant ma queue pour bien me la vider et me la secoua en femme d’expérience m’arrachant quelques grimaces de ...
    ... plus. J’en pleurais presque, autant de soulagement que de déception tellement j’avais eu envie de baiser l’une et l’autre.
    
    — Faut jamais se décourager, Paul, me disait sœur Yvonni. Recommence !
    
    Facile à dire.
    
    Là, je l’étais tout de même un peu, découragé, en me sentant vidé de mes pulsions sexuelles pour un bon moment et en plus, mes petites douleurs revenaient.
    
    — T’es pas correct ! se plaignit Pierrette visiblement déçue, sur un ton très digne malgré tout.
    — Ah ben ! fit la rousse qui s’amusait follement. Pis le show de fesses tantôt, ça c’était correct ?
    — Toé je te dis ! fit Pierrette avant de rire un bon coup.
    
    Une fois mes couilles vidées, mon pénis se flétrit rapidement dans la main gluante de sperme, mon sperme. Une petite fierté de plus. Elle me le lâcha et donna quelques petites tapes dessus en rajoutant :
    
    — Tiens, c’est fait, mission accomplie. C’est vrai qu’il a un gros réservoir,tabarouette !
    
    Là, elles rirent encore, comme d’habitude.
    
    — Je trouvais ça drôle aussi que tu te joignes à nous, prude comme t’es, Marie.
    — Bof… J’ai eu une jeunesse moi, ma tante. Ce n’était pasle fun, Paul ? entendis-je l’esprit embrumé.
    — Hum, hum !
    
    « J’ai eu une jeunesse, moi », ça voulait dire quoi ? Trio, partouze entre filles, orgie romaine… Toutes sortes d’images sulfureuses avec Marie Lemieux me traversaient la tête.
    
    Encore des rires.
    
    Je laissai mes poumons se vider complètement en souriant bêtement moi aussi, lâchant les fesses de Pierrette qui ...
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