1. Mes jeux secrets avec les vieux


    Datte: 03/04/2021, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Première fois Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... toucher est une chose, mais rien n’égale le plaisir que j’éprouve en dégrafant mon soutien-gorge sous les yeux d’un homme âgé, sinon peut-être le fait de baisser ensuite ma culotte pour lui montrer mon cul ou ma chatte, ces gestes qui signifient qu’il dispose de moi à sa guise.
    
    Les doigts d’un vieux à la jonction de mes cuisses ou de mes fesses me font immédiatement mouiller. Sa langue aussi, à n’importe quel endroit de mon corps, mais avec une préférence pour mon anus, j’ignore pourquoi.
    
    Il m’est plusieurs fois arrivé de rencontrer des vieux qui ne parvenaient plus vraiment à bander, ce qui ne les empêchaient pas d’éprouver du plaisir à me tripoter, à m’embrasser et à me lécher.
    
    Quelques-fois, je me suis enfoncée des bites plus ou moins molles entre les cuisses, en les guidant correctement. Quelques-fois aussi, des vieux qui bandaient mou sont parvenus à éjaculer, à force que je les laisse me toucher et que je les excite avec mes gestes ou mes paroles.
    
    Je me souviens d’une expérience très touchante avec un homme qui devait avoir soixante-dix ans. Il n’avait jamais eu le plaisir de partager de moments complices avec sa propre fille, ni avec ses petites-filles par la suite. Toutes lui avaient tourné le dos et, en communiquant avec moi par Internet, il se réjouissait à l’idée de pouvoir prendre dans ses bras une fille de mon âge. J’avais alors seize ans, et j’avais accepté de jouer le rôle de la petite-fille de cet homme, pour lui faire plaisir.
    
    Seulement voilà, ...
    ... j’ai tardé à me rendre compte qu’il n’avait pas d’idées perverses derrière la tête. Son seul souhait consistait à passer du temps avec moi, chez lui ou ailleurs. A marcher avec sa « petite-fille » dans des jardins publics ou dans la campagne, ou en l’invitant au restaurant et en lui faisant des cadeaux. Alors quelle ne fut pas sa surprise le jour où j’ai approché ma bouche de la sienne, pour l’embrasser. Je me souviens du mouvement de recul qu’il a eu, et de l’étonnement dans ses yeux.
    
    Il a dû me dire quelque-chose comme :
    
    « Mais qu’est-ce que tu fais, ma petite chérie ? »
    
    Et j’ai dû lui répondre :
    
    « J’avais envie de t’embrasser comme ça, mon papi. »
    
    L’étonnement passé, il m’a laissée l’embrasser à nouveau, car j’avais mes propres envies, tandis que celles de ce monsieur m’avaient échappé. Ce qui n’empêcha pas pour autant qu’on aille un peu plus loin dans nos gestes ce jour-là : d’autres baisers avec la langue, puis des caresses. Mes mains dans l’ouverture de la chemise de ce vieux monsieur que j’aimais beaucoup, puis les siennes qui ont fini par se glisser sous mon t-shirt, jusqu’à mes seins qui étaient nus sous le tissu.
    
    Et ainsi de suite, jusqu’à ce que me mette toute nue devant lui, sous ses yeux stupéfaits, au bord de cet étang isolé où nous avons eu une relation sexuelle ensuite. Il n’en revenait pas, je me souviens.
    
    Un peu plus tard, tandis qu’on se rhabillait, il m’a dit :
    
    « L’envie de m’avait pas effleuré l’esprit avant toi, ma petite chérie. ...