1. Mon Apocalypse à Moi 04


    Datte: 02/04/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDesonrage, Source: Literotica

    ... dirigea le sperme vers sa poitrine. J'étendais Priscilla sur la table et la pris sans fioriture, ni préliminaires,d'ailleurs. Au début, cela me fut un peu désagréable, ces muqueuses sèches. Heureusement pour elle, elle mouilla assez vite, et quand je me libérais dans son ventre, elle ne pleurait plus.
    
    Je repartis avec Kévin et Christelle. Je notais sur un carnet les possessions des voisins, ça pouvait servir pour remplacer ce qui, inévitablement allait tomber en panne. En même temps, fatalement, tout allait tomber en panne, un jour ou l'autre. Le monde était en chute libre, et j'étais bien décidé à profiter du voyage.
    
    Je baisais Priscilla. Je commençais par lui baiser la bouche, prolongeant l'intromission maximum et lui pinçant le nez pour qu'elle étouffe, puis je la jetais sur le canapé et lui écartais les jambes pour lui violer le sexe, là encore avec brutalité, relevant ses jambes au maximum sur ses seins et l'écrasant avec la pliure de ses genoux sur mes épaules, si bien que le bombé de son sexe faisait ressortir son clitoris qui s'electrisait avec le frottement de mon pubis. Elle criait de douleur et de plaisir mécanique mêlés. Enfin, je la retournais et elle eut le temps de gémir 'pitié" avant que ma bite disparaisse toute entière dans son fondement. Je la besognais en soudard, jouissant du spectacle de son anneau s'effaçant dans un sens et dépassant au retour, comme s'il voulait garder ma bite. Quand je me vidais les couilles dans son petit trou, elle se relâcha ...
    ... subitement, de soulagement. Je ruisselais de sueur, et elle aussi.
    
    Je l'attrapais par les cheveux pour qu'elle me nettoie, et elle suça mollement, comme absente.
    
    Je me rajustais en me reculant et vit qu'elle me regardait d'un oeil terne. J'avais brisé sa volonté. En lui ouvrant son petit enfer personnel, j'avais cassé sa psychologie, à force de violences répétées et d'humiliation qu'elle n'imaginais même pas une semaine avant. Moi et mes désirs étions ses seuls horizons. Je ressortis mon sexe et lui ordonnais de venir à quatre pattes. Elle s'exécuta et referma doucement sa bouche autour de la base du gland qui décalottait doucement. Elle but sans presque rien manifester. Mon affaire finie, je me reculais.
    
    -Elle boire ta pisse? S'étonna Katia.
    
    -Elle a intérêt, répondis-je. C'est Kévin qui sert de pissotière à Christelle.
    
    -Vous n'utilisez pas toilettes?
    
    -Si. Bien sûr. Mais au moins une fois par jour, c'est pour eux. Et pas la merde.
    
    -Mais pourquoi Kévin il peut baiser moi?
    
    -Pour le récompenser. Quand il fait bien son travail, il a droit à un petit quelque chose.
    
    -Je suis sucre d'orge, c'est ça?
    
    En gros, oui. D'ailleurs, il a bien travaillé, tu peux t'occuper de lui.
    
    Katia sortit le sexe déjà érigé de Kévin, le suça dans le canapé où il était assis, avant de l'enjamber et de se l'enfiler. Elle commença à monter et descendre tandis qu'il haletait comme un chien. Elle s'immobilisa et je compris qu'il rendait les armes. Elle dit une phrase en russe ...