1. L'importun 8


    Datte: 01/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    L'Importun 8
    
    - Ma pauvre Marie, tu es folle de vouloir venir vivre avec moi. Si tu me disais toute la vérité, sans omission, je pourrais être tenté de te reprendre. Il faut examiner deux aspects.de notre situation En premier notre vie privée mais aussi en second, ses répercussions possibles et probablement inévitables sur une éventuelle collaboration professionnelle. Les différences d’appréciations sur les événements récents susciteront des problèmes de rapports hiérarchiques nuisibles au bon fonctionnement de l’agence et dont je souhaite me passer ici. Je ne veux pas avoir à résoudre des conflits inutiles au quotidien.
    
    – J’admets que j’ai eu des torts énormes. Mais je te promets que cela ne se reproduira plus. Oublies-tu a nature de ton cadeau ? Tu venais de traverser une crise de colère incroyable peu avant. Sylvain revient, tu l’accueilles à bras ouverts, tu apprends de lui que nous avions flirté et tu nous demandes de terminer ce que nous avions suspendu. Je n’ai pas osé refuser ton cadeau par crainte de te pousser à une crise de furie semblable à la première.
    
    – Tu me ferais mourir de rire si le sujet n’était pas aussi grave. Combien de fois ai-je pété les plombs en autant d’années de mariage ?
    
    – Cela n’était jamais arrivé. Est-ce que les histoires de Sylvain méritaient une réaction aussi violmente ? Tu t’es emporté si vite et si fort…
    
    - Cela ne valait pas pareille indignation ? Je te rappelle qu’il parlait tout bonnement de me sodomiser, de te ...
    ... sodomiser et de se faire sodomiser par moi aux cours d’accouplements divers à trois. Voilà par exemple une énorme différence d’appréciation entre toi et moi. Tu souhaitais te faire sodomiser, moi, j’ai horreur de ces mœurs. Ca te démange, va te faire foutre ailleurs que sous mon nez
    
    – Je ne le souhaitais pas plus que toi à ce moment-là.
    
    - Pourtant par la suite tu t’es prêtée avec zèle et à plusieurs reprises à la pénétration anale, non sans un certain plaisir. Quand on n’aime pas une fois suffit. Après on refuse ou on se dérobe, mais on ne prend pas la pose la plus favorable à la répétition de cet acte contre nature. T’ai-je forcée à jouir du cul en te frappant selon mon habitude ?
    
    – Je n’ai jamais eu à me plaindre de coups de ta part. Je ne me souviens même pas d’un accès de colère semblable à celui de vendredi. J’ai plus craint que tu ne fasses une crise cardiaque que de recevoir des coups. J’ai eu tort d’interpréter ton cadeau comme je l’ai fait et je te renouvelle mes excuses. Je ne comprenais pas tes motivations. Tu ne voulais plus me donner ton collier, tu m’as fait cadeau d’un homme ! Pourquoi ? Je n’ai pas cherché à te provoquer, j’ai obéi.
    
    - Bêtement ? Non, mais avec beaucoup d’appétit sûrement. Une heure ne vous a pas suffi pour épuiser vos besoins d’étreintes et d’union corporelle. Au milieu de la nuit, à mon départ, vous n’étiez pas encore sexuellement rassasiés et vous baisiez comme des lapins, à ma plus grande confusion. Les dernières images que j’ai ...
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