1. Prise devant mon mec (1)


    Datte: 01/04/2021, Catégories: Hétéro Auteur: donico, Source: Xstory

    ... chercher ma propre main, puis il l’a approchée lentement de son sexe. Je comprenais vaguement ce qu’il allait faire, mais j’étais trop sonnée pour m’y opposer. Avant que je ne puisse réagir correctement, il l’avait posée sur sa verge dressée.
    
    Les pensées se sont alors bousculées à toute allure dans ma tête : mon Dieu que son sexe était gros, et tellement dur ! Il m’effrayait en fait, comment avais-je pu me retrouver avec un pénis dans les mains ? Moi, Alexia, la fille la plus prude de mon école ? Je ne parvenais pas à comprendre comment j’en étais arrivée là, et je ne savais absolument pas comment me sortir de cette situation.
    
    Nabil a alors guidé ma main pour la faire épouser la forme de sa bite. Malgré moi, je l’ai donc serrée dans ma paume, puis j’ai entamé de délicats mouvements de va-et-vient.
    
    — Ah putain, t’as la main trop douce !! a-t-il lâché à voix basse.
    
    J’étais monstrueusement gênée, mais je ne savais toujours pas comment réagir. J’aurais dû lâcher son sexe, le gifler, partir en courant... bref, tout, sauf continuer à le masturber servilement ! Mais pourquoi en étais-je incapable ?
    
    Nabil a alors profité de mon atonie pour poser son autre main sur mon torse, puis il l’a fait descendre doucement jusqu’à ma poitrine. Quand sa paume s’est refermée autour d’un de mes ...
    ... seins, qu’il a pressé sans tendresse, j’ai enfin eu un électrochoc salutaire : j’ai lâché son sexe et j’ai repoussé l’intrusion. Je me suis ensuite mise en position fœtale, les mains protégeant mes seins.
    
    J’ai jeté des regards fébriles à travers la pièce, terrifiée à l’idée que quelqu’un ait pu voir la scène. Heureusement, tout le monde était trop absorbé par son travail pour prêter attention à ce que nous faisions, surtout que nous étions quasiment invisibles derrière nos ordinateurs.
    
    Je ne sais pas pourquoi j’avais aussi honte des attaques de Nabil, comme si je me sentais coupable de les provoquer; ou, était-ce déjà de l’attirance que je ne m’autorisais pas à accepter ?
    
    Quoi qu’il en soit, j’aurais pu le repousser plus rudement, ou même faire en sorte que les autres voient ce qu’il m’infligeait. Mais je ne voulais pas, et je ne m’expliquais pas pourquoi.
    
    — Viens avec moi, il faut qu’on parle, m’a dit Nabil en m’attrapant de nouveau la main.
    
    Il m’a attiré avec lui dehors, et je reconnais que j’étais plutôt soulagée de quitter la pièce. Je ne voulais pas que les autres se doutent de quoi que soit; or, j’ai compris quelques secondes trop tard que c’était une tragique erreur : il ne pouvait pas tenter grand-chose devant tout le monde; mais si nous étions seuls, jusqu’où irait-il ? 
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