Le miroir aux alouettes (5)
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... non plus ignoré les attributs hors normes de Luigi.
— Si vous voulez tous me suivre… il est grand temps d’ouvrir le bal…
Personne n’avait répondu, mais j’avais saisi la patte qu’il me tendait et à mon tour je sortais de la baille. Marc lui ne revenait pas vers nous pour quitter la piscine et Jean sortait également à l’air libre quelques secondes plus tard.
— Alors ? Comment chère madame, voyez-vous les choses ? Si vous voulez, nous pouvons nous placer de manière à ce que tous prennent un maximum de plaisir.
—… ?
— Oui, je vous explique… nous étendons les draps de bain sur les dalles, vous me faites une petite gâterie et votre mari profite de ma bouche et de la vue de la vôtre s’activant dans une occupation similaire. Pour Marc et bien… il vous suffira d’ouvrir les cuisses pour qu’il soit à la fête…
— Je vois ! Vous avez déjà tout prévu. Vous faites preuve d’une certaine… technicité… ou d’une grande expérience.
La queue de mon mari n’était pas très… gaillarde. Il prenait la position décrite avec soin par le conseiller immobilier. Moi aussi du reste et j’avais ç peine entrouverte mes jambes que Marc se plantait entre elles. Il ne voyait rien de ce qui se passait au-dessus de ma ceinture. La bite de Luigi eut bien du mal à entrer entre mes lèvres. Jean lui fermait les yeux alors qu’une main de l’italien lui malaxait les couilles.
— Détends-toi Jean… regarde ta femme ! Elle se fait plaisir avec un beau mandrin de mâle… imagine comme elle suce bien… la ...
... cochonne. Ah, tu vois, ça commence à te faire de l’effet. C’est ça ! Songe que ce sont les lèvres de ton épouse qui vont te sucer… tu y es ? Alors, je me tais et j’agis…
Je voyais soudain le gland de mon Jean qui disparaissait entre deux lippes qui n’avaient rien des miennes. Et lentement son sexe se mettait à durcir. Au bout de deux ou trois secondes, il était aussi en forme que celui que je tétais. À cette différence près que leurs tailles étaient totalement opposées. Mes mâchoires devaient s’ouvrir au plus large pour accueillir seulement quelques centimètres de ce gourdin d’un diamètre… effrayant. Et curieux ballet se mettait en marche, à quelques pas d’une eau d’un bleu profond.
Chacun y trouvait de quoi se rassasier. Le plaisir des sens, vue, odorat, toucher, tout concourait à me rendre folle d’envie. Et chacun des deux amis put ainsi faire de moi une poupée prête à tout pour jouir un maximum. Mes gémissements n’avaient pas d’autres échos que les soupirs que mes deux baiseurs laissaient échapper sous mes coups de lange ou mes doigts. Ceux-ci pressaient, tâtaient et il n’y eut guère d’endroit ou ils ne se posèrent pas. Jean par contre, assis sur un transat, assistait avec sa queue à la main à ce déferlement de plaisir qui m’étreignait.
Après que tour à tour mes chevaliers servants eurent éjaculé, sur moi et non pas en moi, je ressentais les premiers signes d’une fatigue plutôt naturelle suite à tant de possessions. Je repoussais Marc en premier, et le dernier assaut ...